Le blog de Léandre

Andréï ne s'arrête pas pour autant de s'activer maintenant qu'il est supposé avoir accordé un moment de détente à tout le groupe des garçons nus qui le regardent avec une certaine appréhension, se délassant assis en désordre sur le sol du gymnase et prêts à se relever à la moindre injonction. Andréï se penche pour ouvrir son sac et en retirer la petite merveille qu'il leur a promise: le pieu électronique. Il leur montre triomphalement le cylindre en acier poli d'une longueur d'une trentaine de centimètres fixé sur un socle carré dont sortent plusieurs câbles d'alimentation. Le cylindre se termine par une pointe sur laquelle Andréï positionne ses doigts en cercle, leur faisant ainsi comprendre avec un sourire sardonique qu'ils vont devoir le faire entrer leur trou et l'élargir si nécessaire. Il y a une mollette sur le socle qu'il manipule en leur expliquant qu'il peut ainsi faire varier le diamètre du cylindre, ce qui en inquiètent certains. Enfin, il se lève pour installer le pieu dressé au milieu d'une des trois estrades, déroulant le câble électrique avant de demander à Toby de le brancher et d'allumer le grand écran vidéo sur le mur du fond. Quand Toby a fait ce qui lui a été demandé, Andréï met le contact sur le socle sous le pieu. L'écran s'allume, montrant un grand cône lumineux qui s'élève au-dessus d'un cercle qui prend tout l'écran et sur lequel s'inscrit la circonférence en centimètres. Cette fois-ci est affichée la mention: « quatre centimètres ». De même la hauteur du cône est mesurée: « dix centimètres ».Des points lumineux palpitent sur l'écran comme s'ils attendaient de s'animer pour le spectacle. Andréï explique que le sommet du cône correspond à l'avancement du sommet du pieu dans le fondement du gars empalé. Quant au diamètre affiché, il peut bien sûr varier en fonction de la position de la molette. Une vague d'inquiétude parcourt le groupe au fur et à mesure qu'il les regarde l'un après l'autre, prêt à choisir le premier à devoir venir s'empaler. Kris est nerveux, Miros n'en mène pas large, pas plus que Michalo. Seul Tim arrive à masquer ses sentiments sous un sourire de convenance. Sean est plutôt désespéré, le visage défait : il sait qu'il va souffrir parce qu'Andréï fera tout pour ça.

Ce dernier finit par désigner Christian à qui il demande de faire une démonstration en lui faisant signe de venir s'installer sur le pieu. Il se trouve que Christian a l'habitude de ces séances d'empalement: résigné, il s'approche tranquillement pour monter sur l'estrade. Les autres retiennent leur souffle, à part Toby qui regarde ailleurs: lui aussi a déjà testé le dispositif.

• Je sais, vous vous demandez si vous n'allez pas être électrocuté. Ne vous inquiétez pas, j'ai fait tester ce pieu à plusieurs reprises. Quant à la profondeur de votre empalement, vous pourrez le doser vous-même. Christian va vous en faire la démonstration.

Andréï tend du lubrifiant à Christian qu'il se passe avec application entre les fesses et sur le trou, se penchant en avant pour mieux vérifier de ses doigts ce qu'il vient de faire. Puis sur un geste d'Andréï, il s'accroupit à moitié en positionnant précautionneusement ses fesses au-dessus du pieu sur lequel il pose une main pour mieux se guider et s'empaler. Il en profite pour l'enduire du lubrifiant qu'il a gardé sur les doigts. Quand le contact se produit, il ferme les yeux comme pour mieux se concentrer pendant qu'il abaisse ses fesses, poussant pour forcer l'entrée du pieu dans son anus tout en se redressant et se cambrant pour faciliter la manoeuvre. Christian ahane tout en gémissant un peu avant de terminer sa manoeuvre, s'immobilisant ses fesses abaissées sur le pieu jusqu'au niveau de ses talons. Les gars scrutent le visage de Christian rougi et tendu par l'effort mais plutôt calme. Andréï leur montre l'écran :

• Regardez ! Vous pouvez voir que Christian a bien fait entrer le pieu dans son trou. Vous voyez de combien son muscle anal s'est distendu : quatre centimètres, et jusqu'où il l'a enfoncé: quinze centimètres. C'est bien pour un début. Vous devez tous y arriver.

Des points lumineux virevoltent sur l'écran autour du cercle et du cône comme pour accompagner la réussite de Christian. Andréï lui fait signe qu'il en a terminé. Christian se relève précautionneusement pour se dégager du pieu avant de se relever et de sauter à bas de l'estrade. Andréï commente à la ronde:

• Evidemment, je peux vous demander de vous ouvrir davantage. Mais pour le moment, vous allez vous entraîner avec ce diamètre commode.

Andréï fait signe à Toby de s'approcher.

• Je vais en profiter pour vous montrer ce que Toby peut prendre comme diamètre.

Toby fait une légère grimace à l'annonce du changement de diamètre tout en s'avançant à son tour. Montant sur l'estrade, il enchaine les mouvements de préparation, s'enduisant le trou de lubrifiant pendant qu'Andréï tourne la molette en déclarant à la cantonade:

• Je vais lui imposer six centimètres ! Il est capable de les prendre.

Leur montrant l'écran comme preuve, les gars effrayés voient le diamètre annoncé s'afficher. Toby s'est déjà à moitié accroupi, positionnant son trou juste sur le pieu en s'aidant de sa main pour faciliter la jonction. Sans plus attendre, il prend une inspiration comme un fakir puis en expulsant bruyamment l'air de ses poumons, il abaisse ses fesses tout en gémissant du fond de sa gorge au fur et à mesure qu'il s'empale. Les gars ébahis et les yeux rivés sur l'écran voient apparaître le diamètre de six centimètres et constatent la progression du pieu dans les entrailles de Toby jusqu'à quinze centimètres. Toby s'est figé, accroupi en appui sur ses talons, tout rouge et une grimace silencieuse lui tordant le visage, les yeux fixant Andréï comme s'il quémandait sa délivrance. Ce dernier le libère d'un geste. Toby se relève très lentement en ahanant une dernière fois avant de se redresser souplement et de descendre de l'estrade dans le même mouvement, comme si rien ne s'était passé.

Andréï les regarde à tour de rôle. Ils sont tous effrayés et réticents à y aller. Andréï actionne la molette dans l'autre sens.

• Allez du courage ! J'ai réduit à quatre centimètres. Qui veut y aller ?

Aucun ne se désigne. Andréï regarde avec insistance Kris qui ébauche un pâle sourire car il a compris qu'il ne pouvait pas échapper au fait d'être choisi maintenant. Il paraît peu rassuré quand il se relève suite au geste d'Andréï qui lui fait signe de s'approcher. Le grand garçon athlétique tremble légèrement quand il arrive contre l'estrade. Andréï l'encourage en le caressant sur le dos avant de lui passer la main entre les fesses et de lui enfoncer familièrement deux doigts dans son trou, à l'endroit précis où le pieu va l'écarteler. Andréï est particulièrement gentil et attentionné:

• Allez, tout va bien se passer. Je vais te préparer.

Kris se laisse faire, reconnaissant, se confiant aux doigts d' Andréï qui pénètrent dans son intimité, enduisent son trou et se frayent un chemin plus loin dans l'intérieur de ses parois, le rassurant d'une certaine manière par l'attention qu'il lui dispense. Il est bientôt prêt et monte sur l'estrade sur une poussée d'Andréï. Il se met en position mi-accroupie comme il l'a vu faire par les deux autres avant lui, juste au-dessus du pieu. Andréï l'aide à positionner son trou sur le pieu. Il sent la pointe en acier qui frotte sur son muscle anal. Andréï pousse doucement sur le haut des cuisses du garçon pour lui signifier qu'il doit s'accroupir davantage jusqu'à poser ses fesses sur les talons. Mais pour cela, il lui faut s'empaler. C'est le moment crucial. Il n'ose pas pousser davantage vers le bas. Andréï sent bien la résistance de Kris qui tremble. Il appuie durement sur le haut des cuisses du garçon pour le forcer à s'accroupir. Ce que ce dernier finit par faire tout en poussant un gémissement du fond de sa gorge qui témoigne de la pénétration progressive qu'il subit. Le visage tordu par l'effort, il continue son mouvement, serrant les dents et fermant les yeux, comme pour mieux se concentrer et se persuader de ne pas s'arrêter. Soudain Andréï s'exclame:

• Tu as réussi mon garçon !

Le visage de Kris grimace encore de gène avant qu'il ne se reprenne soudain en souriant comme s'il avait vaincu complétement l'obstacle :

• Ce n'est pas si dur que ça, Monsieur Andréï !

Ce dernier ravi se tourne à la cantonade:

• Vous voyez vous autres que ce n'est pas impossible !

Sur une dernière caresse d'Andréï, Kris peut se redresser délicatement jusqu'à se désengager avant de se relever et de descendre de l'estrade, un sourire radieux sur le visage suite au succès de sa tentative.

Encouragé, Miros s'avance. Andréï en profite pour le soumettre au même traitement de faveur, enfouissant ses doigts au plus profond du trou de ce garçon splendide pour le préparer et en même temps pour pénétrer davantage dans son intimité dans un pacte de confiance où il se sent vainqueur sur tous les tableaux. Une fois positionné au-dessus du pieu, le trou de Miros cède à la pression sans trop de résistance si ce n'est une grimace qui ne dure pas trop longtemps, bientôt remplacée par un sourire célébrant le devoir accompli. On dirait que Miros y a pris goût et qu'il se désengage comme à regret.

Michalo lui succède à l'invitation d'Andréï qui se fait un plaisir de renouveler son geste qui témoigne de la confiance qui lui est à présent accordée naturellement puisqu'il a le droit de pénétrer de ses doigts l'intimité profonde du garçon. Ils sont tous prêts à lui donner leur intimité de bon coeur comme le feraient de grands enfants qu'ils sont en vérité dans de tels moments. Une fois qu'Andréï a enduit soigneusement et longuement les parois du fond du trou de Michalo, il n'y a plus qu'à le propulser doucement sur l'estrade, l'installer sur le pieu, le forcer à s'abaisser progressivement jusqu'à s'y empaler complétement, contrôler ses réactions et finalement lui permettre de se relever, en le caressant sur le cou pour le féliciter silencieusement et lui signifier sa satisfaction.

Tim se présente ensuite de lui-même, provoquant un véritable plaisir chez Andréï à constater sa docilité et sa promptitude à se conformer à ce qui lui est demandé. Toute la routine se déroule sans anicroche jusqu'à ce qu'Andréï ne puisse pas résister à l'impulsion de tourner la mollette alors que Tim est encore empalé, provoquant ses gémissements mal contrôlés alors que son muscle anal est distendu au maximum et qu'il est visiblement en proie à une souffrance qui le broie intérieurement et le fait sursauter de manière désordonnée. Tous les autres retiennent leur souffle à la vue du visage de Tim qui grimace de douleur, les larmes aux yeux alors que le grand écran indique « six centimètres » de diamètre pour le pieu.. Andréï se dit que Tim est bien fragile et a un doute soudainement sur sa capacité de résistance sur le sling. En même temps, travailler sur la souffrance n'est pas pour lui déplaire. Il se peut aussi que Tim s'accommode petit à petit. Pour le moment, ce n'est pas le cas et il est temps de le libérer. Au fur et à mesure qu'Andréï réduit le diamètre du pieu, Tim s'effondre en larmes comme si l'épreuve avait été trop violente. Quand il se désengage en se redressant sur un signe d'Andréï, il a peine à tenir debout et à descendre de l'estrade. Andréï le soutient en silence pendant que le garçon titube avant de s'affaler à même le sol, comme s'il lui fallait tout de suite s'allonger, hors d'état de rester debout. Andréï s'adresse au groupe:

• Vous avez le droit d'être surpris au début mais ensuite il va falloir arriver à prendre le pieu même à six centimètres. C'est ce qui va arriver à ceux qui auront perdu leur combat ce soir.

Ils ne sourient plus du tout et regardent ailleurs l'air gêné. Sean n'en mène pas large car il est encore une fois le dernier à passer et il sait qu'Andréï ne lui fera pas de cadeau. Il s'approche mécaniquement sur un signe de ce dernier. Il ne peut s'empêcher de trembler pendant qu'Andréï lui enfouit ses doigts profondément dans le trou, y déposant du lubrifiant partout sans limite de propreté pour aucune zone. Ensuite Sean doit monter sur l'estrade devenue un échafaud, le visage défait par l'angoisse et s'accroupir sur le pieu. Heureusement Andréï l'a réduit à une circonférence de quatre centimètres. Docile et résigné, Sean pousse pour rapidement se retrouver empalé, assis sur les talons, tentant de résister tant bien que mal à la gène occasionnée par la tension sur son muscle anal et l'intrusion du pieu au plus profond de ses entrailles. Horrifié, il voit du coin de l'oeil la main d'Andréï tourner la mollette et en ressent immédiatement les conséquences sur son muscle anal qui se tend au maximum, provoquant une douleur fulgurante qui le traverse de part en part. Tordu par la souffrance, il gémit à voix haute, sa manière de protester. Andréï prend son temps et serre durement la verge et les bourses de Sean entre ses doigts comme s'il voulait accroitre encore la douleur du garçon. Ecartelé dans son fondement, ce dernier agité de frissons violents et sporadiques se plaint en criant par intermittences comme s'il ne pouvait plus rien contrôler. C'est bien cet état qui intéresse Andréï: quand le corps en est réduit aux réactions de survie animale. Bizarrement, il flatte Sean en le caressant sur le cou. Le garçon éperdu de souffrance ne comprend pas cette soudaine tendresse et supplie Andréï du regard et bientôt de la voix pour être délivré. Ce dernier finit par obtempérer en réduisant lentement le diamètre du pieu pendant que Sean s'effondre en larmes, perdant tout contrôle de lui-même. Andréï doit le tenir pour le faire se redresser et se désengager du pieu, puis se relever et descendre de l'estrade avant de s'écrouler sur le sol du gymnase comme tétanisé par ce qu'il vient de subir. Sous les yeux des autres gars médusés et paralysés par la peur, Andréï curieusement a l'air de vouloir s'en occuper sans aucune agressivité cette fois. Il esquisse même un geste de caresse sur la tête de Sean qui ne peut s'empêcher de s'écarter comme épouvanté par ce qui vient de se passer et incapable de faire confiance à Andréï à qui il en veut trop. Ce dernier s'écarte, comprenant que Sean est sonné et traumatisé. Il vaut mieux lui laisser le temps de récupérer par lui-même. Il décide de donner au groupe une heure de détente après toutes ces épreuves et avant la séance du soir. Il leur donne congé et rassemble ses affaires dans les sacs avant de les confier à Toby et Christian et de partir vaquer à ses occupations.