Arnold entraine Miros vers sa chambre pour le soigner. Ce dernier s'avance en claudiquant entre les bras de son maître et amant qui le soutient tendrement. Arrivé dans la chambre, Miros se couche sur le ventre sur le lit en écartant les jambes pour mieux exposer ses fesses et en poussant un grand soupir de soulagement:
-André est vraiment méchant.
-Oui je sais.
-Mais comment l'as-tu rencontré ?
-J'ai fait de bonnes affaires avec lui il y a quelques années.
-Et depuis vous êtes amis ?
-Oui on peut le dire.
-Mais il est spécial, féroce même !
Arnold a pris un onguent dont il enduit ses doigts avant de les introduire délicatement dans le trou de Miros qui gémit un peu à leur passage.
-Un beau petit cul comme le tien ne mérite pas ce genre de torture, hein, mon gros chat ?
Miros s'allonge davantage comme s'il voulait se détendre plus fort et oublier plus vite :
-Je ne mérite pas ses mauvais traitements !
Arnold se penche pour l'embrasser sur l'épaule et puis sur la bouche que Miros lui tend en relevant la tête vers lui :
-Je vais te protéger dorénavant.
Miros s'inquiète tout de suite:
-Et Michalo ?
-Quoi Michalo ?
-Est-ce que tu pourrais aussi lui éviter d'être torturé par Andréï ?
-Si tu insistes.
-Oui s'il te plait !
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