Premiers jours à la propriété

Mardi 7 septembre 2 07 /09 /Sep 22:22

 

La limousine passe la porte d’entrée entourée des grilles du domaine. La large allée mène à une véranda en toile de tente devant une porte monumentale donnant accès au corps de bâtiment principal qui s’étend sur une large façade de deux étages. Dès que la limousine s’arrête et que la portière est tenue ouverte par le chauffeur, Robert descend et serre les mains des trois associés présents et du régisseur du domaine. Alors que les associés sont vêtus de peignoirs de bain et de babouches, le régisseur est habillé tout en blanc, pantalon en toile et chemisette. L'un des associés, Arnold s’avance, curieux de voir les nouvelles recrues :

  • Voyons ce que tu nous amènes !

Robert se retourne pour faire signe aux deux garçons de descendre à leur tour de la limousine. Ils se redressent bientôt devant la voiture, côte à côte, nus, leurs vêtements à la main, avec un sourire de circonstance placardé sur leur visage. Arnold s’approche de Miros que Robert lui présente brièvement :

  • Miros, vingt ans, 1m85 et 80 kg de muscles.

Arnold passe les mains sur les épaules de Miros tout en le regardant de haut en bas sous toutes ses coutures :

  • Beau spécimen en effet !

Il a déjà empoigné la verge et les bourses de Miros qu’il serre vigoureusement provoquant un sursaut de Miros qui grimace légèrement et qu’il tance tout en le serrant davantage :

  • Tout doux, un vrai étalon !

Puis Arnold lui lâche le sexe pour aller lui flatter la nuque avant de lui glisser les mains dans la bouche et le forcer à l’ouvrir pour qu’il inspecte les dents un moment avant de le déclarer en bonne santé. Le reprenant par la nuque, il fait pression pour que Miros s’incline en avant :

  • Bascule en avant mon garçon, je vais regarder ton trou de balle.

Miros se plie en deux avant qu’Arnold ne le force à se retourner pour lui présenter ses fesses où il s’active tout de suite pour lui fourrer deux doigts dans le trou et les tourner dedans :

  • Pas traces d’hémorroïdes ni d’autres bobos. Bonne prise, Robert !

Robert se rengorge pendant que les associés approuvent en souriant et en se congratulant avant d’être autorisés à tâter Miros à leur tour, ce qu’ils s’apprêtent à faire avec délectation. Le régisseur quant à lui se rassure à la vue des muscles des bras et des cuisses de Miros qui témoignent de sa résistance physique qui peut s’avérer utile dans les travaux ménagers où les deux gars seront affectés.

Arnold a déjà relâché Miros et le pousse vers ses collègues. Miros se tourne vers John, poivre et sel, visage rond, l’air avenant et jovial, avec un ventre qui pointe sous son peignoir, Il se présente à Miros tout en s’extasiant tout sourire en lui touchant la verge et lui caressant les bourses :

  • Que voilà un gars splendide !

Miros sourit de plaisir. John s’approche encore plus pour lui donner une accolade d’une manière douce qui plait tellement à Miros qu’il l’embrasse dans le cou en retour. Puis John pousse Miros vers son voisin, Roger, un vieillard vénérable à cheveux blancs, sec et émacié, avec des gestes saccadés, qui se présente avant de l’agripper et lui prendre la verge qu’il masturbe sans façon. Ce dernier réagit en bandant et en contractant ses cuisses, regarde le voisin, qui doit être le régisseur, tout vêtu de blanc, et qui lui sourit avec un air de dire qu’il faut laisser faire ce vieux paillard. Il finit par lui tendre la main à distance et la lui serrer, très strict :

  • Je suis le régisseur, Stéphane, c’est moi qui vais vous diriger dorénavant car je suis responsable de vos services.

Miros lui sourit en s’inclinant :

  • Bonjour Monsieur Stéphane, à votre service

 

Pendant ce temps, Arnold s’est approché de Michalo qu’il jauge en le dévisageant de haut en bas :

  • Joli gars !

Robet le présente :

  • Michalo, dix-neuf ans, 1m 80, 78 kg.

Arnold lui pince les joues avant de glisser ses doigts dans la bouche et le forcer à l’ouvrir pour inspecter sa dentition. Satisfait, il abaisse ses mains pour empoigner le sexe de Michalo qu’il serre vigoureusement, déclenchant un haut le corps du garçon qui ne peut s’empêcher de gémir. Mal lui en prend car Arnold accentue sa pression et ne se gêne pas pour tordre verge et bourses sans égards, faisant se tordre de douleur le pauvre Michalo qui en a le souffle coupé :

  • Femmelette !

Robert retient mon souffle ainsi que les autres car la situation risque de rapidement dégénérer pour Michalo. Ce dernier perd courage car il a compris qu’il allait être livré pieds et poings liés à Arnold l’autoritaire tandis que les deux autres associés présents sont trop velléitaires pour lui résister et contrecarrer ses décisions pas plus que Robert ne peut se permettre de le faire. Pendant ce temps, Miros est entre leurs mains qui le pompent comme s’ils ne pouvaient pas s’en empêcher alors que le régisseur ne l’a pas encore touché et qu’il le devrait.

  • Ce Michalo est tout juste bon à se faire mettre !

Robert essaie d’intervenir et de le défendre comm'il peut, en prétextant qu’il est troublé par le début de son service avec eux. Rien n’y fait avec Arnold quand il a son idée. Ce dernier appuie sur la nuque de Michalo, le forçant à se plier en deux avant de se retourner pour exposer ses fesses. Il lui enfonce ses doigts dans le trou sans aucun égard, déclenchant les gémissements de Michalo :

  • C’est bien ! Il est encore assez serré pour donner du plaisir. Je vais l’essayer !

Robert tente encore d’intervenir en proposant à Arnold de différer cette épreuve pour Michalo.

  • Non, c’est moi qui décide ! Ce gars ne sera accepté que quand je l’aurai essayé et qu’il aura passé l’épreuve.

  • Bon d’accord.

Michalo est brièvement donné en pâture aux autres. Arnold se l’étant réservé pour la suite, le passe à John qui l’embrasse tout aussi gentiment qu’il l’a fait avec Miros. Michalo, traumatisé par la manière dont Arnold l’a traité, réagit à peine, l'air épouvanté. Quand Roger le manipule, il se laisse faire sans réactions. La poignée de main du régisseur le sort un peu de son mauvais rêve. Il se raccroche au service qui lui est proposé et décrit succinctement. Le régisseur vérifie les muscles des bras et des cuisses en les tâtant particulièrement.

 

 Les deux gars ayant terminé leur examen de présentation s’apprêtent à être guidés jusqu’à leur chambrée commune. Ils doivent prendre leurs bagages dans le coffre de la limousine sous l’œil goguenard du chauffeur qui transporte ceux de Robert sur un caddy. Puis Michalo doit revenir près d’Arnold la tête basse et l’air perdu. Arnold donne le signal du départ au petit groupe qu’il précède en souriant, la main sur l’épaule du garçon qu’il entend garder à portée de main et dont il contrôle ainsi tous les mouvements. Le petit groupe passe lentement l’entrée et se dirige vers les parties communes réservées aux domestiques dans un corps de bâtiment en bas à droite. Après la cuisine, il y a les chambres du personnel. Le régisseur ouvre une porte avant de s’effacer pour laisser entrer Miros suivi de Michalo toujours cornaqué par Arnold qui avance jusqu’au milieu de la pièce équipée de deux lits jumeaux. Arnold prend la parole :

  • Voici votre chambre. Stéphane le régisseur va vous expliquer vos services respectifs et vous présenter les endroits où vous allez travailler : la salle à manger, la piscine et les chambres des associés sans oublier bien sûr la cuisine et l’office. Mais d’abord je vais prendre Michalo pour voir si nous le gardons et pour ce faire, je dois le tester pour le déclarer ou pas bon pour le service !

Michalo n’a que le temps d’esquisser un bref salut vers Robert et Miros avant d’être entraîné par Arnold. Il a l’expression d’un condamné à mort sur le visage. Miros et Robert se regardent en souriant gauchement, comme pour se rassurer. Une sorte de connivence s’installe entre eux.

 

Le reste du petit groupe regarde extasié Miros toujours nu qui dépose ses bagages sur le lit. Robert propose au régisseur d’expliquer à Miros leurs services et ensuite il pourra en faire autant avec Michalo. Stéphane accepte. John et Roger prennent congé pour rejoindre leur escort respectif non sans avoir caressé Miros et lui avoir exprimé leur plaisir à le voir rejoindre le staff de la propriété. Miros les remercie tout sourire en leur serrant la main avec effusion et en s’inclinant devant eux. Puis le régisseur fait se vêtir Miros d’un short blanc et d’un débardeur bleu marine du plus bel effet, c’est leur uniforme ici, avant de l’entraîner vers les cuisines pour lui présenter le cuisinier, Marcel et son aide, Gérard. Robert décide de regagner sa chambre pour y ranger ses affaires qu'il va retirer de ses bagages.

Après quelques temps de rangement et de relaxation, quelqu’un frappe à sa porte. C’est Miros.

  • Tu as visité les cuisines, la salle à manger ?

  • Oui, j’ai vu aussi l’emplacement de la piscine et des chambres.

Il a l’air embarrassé, comme s’il n’osait pas lui dire ce qu’il a sur le cœur ou lui demander quelque chose.

  • Qu’est-ce qu’il y a, Miros ?

  • Elle est où la chambre d’Arnold ?

  • Plus bas que la mienne. Du reste, le prénom de l’occupant est écrit sur chaque porte.

  • Oui j’avais remarqué. Mais je n’étais pas sûr. C’est curieux, quand je suis passé devant, je n’ai rien entendu. Or Michalo devrait crier.

Robert ricane :

  • Tu sais, Arnold utilise tout le temps des baillons.

  • Ah bon ?

  • Tu n’as pas remarqué ? Andreï n’est pas venu vous accueillir.

  • Oui c’est vrai.

  • Il est trop occupé à torturer son escort. Ceci ne se passe pas dans sa chambre mais à la cave qui est spécialement aménagée avec des slings, des chaînes et toutes sortes de dispositifs.

Miros est horrifié :

  • Vous savez si Arnold y a amené Michalo ?

  • Non, pas la peine, ou du moins pas encore.

Miros soupire ; il n’est pas rassuré.

  • Monsieur Robert. Est-ce que vous allez pouvoir nous protéger si Arnold ou Andreï vont trop loin avec nous ?

  • Vous n’êtes pas requis d’aller à la cave.

  • Mais si Andreï veut nous y forcer ?

  • Cela reste à voir.

  • Vous pourriez les en empêcher ?

  • On verra bien, mon bon Miros. Préviens-moi si ça arrive ou plutôt avant que ça n’arrive.

Miros fait la grimace, vraiment inquiet :

  • Où sont les autres escorts ?

  • Normalement dans les chambres des associés. Ils sont toujours avec eux où qu’ils soient ou aillent.

  • Je vais aller voir dans notre chambre si Michalo est revenu. Et puis je vais aller préparer la table pour le dîner.

Miros sourit à Robert en partant, faisant visiblement un effort pour masquer ses craintes et lui témoigner qu'il lui inspire confiance. Il en a bien besoin pour le moment.

 

Dans le couloir, Miros croise John avec celui qui doit être son escort, un grand escogriffe en short en cuir, tatoué de partout, avec une casquette en cuir et un fouet suspendu à la ceinture. Ils sortent de la chambre de John qui fait les présentations :

  • Voici Sean et Miros. Sean a des capacités de dominant que j’utilise à bon escient. Miros est notre nouveau domestique.

Sean salue à peine Miros qui s’esquive rapidement. Passant de nouveau devant la chambre d’Arnold, il tend l’oreille et entend cette fois-ci des plaintes étouffées. Il reconnaît la voix de Michalo comme s’il était bâillonné. Miros a un haut le cœur tout en continuant son chemin. Il réfrène une sensation de dégoût pour ce lieu qui suinte la souffrance. Dans l’autre chambre dont la porte est entrouverte, il entend des ahans réguliers. Il se penche dans l’entrebâillement et découvre un jeune brun, grand et athlétique, arc-bouté sur le dos du vieux Roger, étalé sur le ventre sur le lit, jambes largement écartées, en train de se faire enculer à coups rapides et réguliers par le jeune dont le bassin bouge comme un métronome. Miros fera connaissance avec ce beau gars plus tard. Il rejoint la salle à manger pour y préparer la table pour les cinq associés si Andreï daigne réapparaître.

 

 

 

 

 

Par Leandre - Publié dans : Premiers jours à la propriété
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