Arrivés à la limousine garée sur le parking, le chauffeur noir accueille Robert et lui ouvre la portière arrière avant qu’il ne se retourne pour prendre ses bagages des mains des gars pour les ranger dans le coffre. L’espace constituant la partie arrière de la grande voiture avec la large banquette de cuir et en face les strapontins et le mini bar est isolé de la partie avant par une paroi de séparation étanche: la communication avec le chauffeur se fait par interphone. En somme un cadre idéal pour toutes sortes de défoulements en vase clos. Les deux gars viennent rejoindre Robert et se glissent dans l’habitacle avant de s’asseoir sur les strapontins lui faisant face, un sourire de bienvenue toujours plaqué sur leur visage. Dès que la portière est refermée, Robert ne peut résister à son impulsion de les caresser à tour de rôle en leur passant les mains autour du cou, en leur massant la nuque et en les flattant doucement comme s’ils étaient de grands animaux de compagnie. Ses familiarités n’ont pas l’air de leur déplaire. D’une pression accentuée, il les incite à s’incliner pour se pencher vers lui. Ils obtempèrent en s’appuyant sur leurs mains pour garder leur équilibre et en écartant davantage leurs jambes repliées. Ils lui font comprendre par leur attitude soumise qu’ils sont prêts à satisfaire ses moindres demandes. D’être aux commandes lui procure une sensation de bien être qui l’envahit doucement. Chacune de ses mains vient s’installer posément sur leur braguette. Il enchaîne en leur empoignant sans façon le sexe sous le tissu :
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En forme ?
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Oui Monsieur bien sûr !
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Montrez moi ça alors.
Ils descendent la fermeture éclair de leur braguette et défont leur ceinture avant de tenir écartés les bords de leur bermuda pour laisser passer la main de Robert sous leur slip, regardant sur le côté pour ne pas le gêner, un sourire ténu continuant à frémir sur leurs lèvres. Ils attendent de voir ce qu’il va leur faire pour le juger, pas complètement rassurés mais évitant surtout de le montrer. Robert plonge ses mains avec délices sur leur sexe pour les saisir chacun d’une main en passant deux doigts autour de leur verge, les autres encerclant leurs bourses. Tenant leurs cuisses bien écartées, ils s’offrent prêts à réagir à la moindre de ses pressions. Robert se délecte à prendre à pleine main leur chair chaude et tumescente. Il sent bien qu’il les tient par l’endroit de leur corps le plus important pour eux. Il peut leur faire du bien ou du mal. Ils ont conscience d’être livrés à lui sans défenses et d’être obligés de le faire ainsi, ce qui crée une certaine tension sous-jacente. Ce sont de bons gars qui attendent évidemment que Robert s’occupe d’eux en bien. Il faut qu’il les rassure. Ses caresses sont faites dans ce sens. Il sent qu’ils se détendent au fur et à mesure qu’il les fait bander. Mais il ne veut pas trop les mettre en confiance pour les garder réactifs. Robert décide de continuer son examen.
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Montrez moi vos biceps, vos abdominaux. Est-ce que vous avez travaillé sur les machines à muscler ?
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Oui bien sûr Monsieur, répondent-ils en chœur.
Dès qu’il a retiré son t-shirt, Miros bande les muscles de ses épaules, de ses abdominaux. Enchanté, Robert lâche sa verge pour lui caresser le cou, les épaules, lui pincer les seins.
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Beau gosse, je t’ai bien choisi.
Miros est aux anges :
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Oui Monsieur, merci Monsieur.
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Vous pouvez m’appeler Monsieur Robert, c’est mon prénom.
Il fait pression sur la nuque du garçon pour approcher son visage de ses lèvres. Miros obtempère souplement, offrant avec un sourire gentil ses lèvres pulpeuses. Robert se penche pour les prendre doucement dans les miennes et les sucer tout en glissant sa langue entre les lèvres entrouvertes du garçon. Lâchant le sexe de Michalo, Robert ramène sa deuxième main sur les bourses de Miros qu’il malaxe avec délice. Miros réagit à l’onde de plaisir qui le traverse en répondant aux pressions de la langue de Robert sur la sienne qui s’anime à son tour. Un frisson de jouissance les saisit tous les deux qui fait que Robert étreint Miros plus fort sans cesser de lui sucer la bouche.
