Dimanche 28 novembre 7 28 /11 /Nov 23:03

 

Venant de la cuisine où il a dû interrompre son déjeuner, Kris s'avance vers la table de la salle à manger où siègent les cinq associés. Il essaie de faire bonne figure mais en fait, il a très peur de ce qui va se passer. Il s'approche instinctivement de Roger comme s'il en espérait une protection. Ce dernier lui fait signe de retirer son short, ce qu'il fait machinalement. Il a de beaux aplats de muscles qu'il a bien travaillés sur une ossature imposante. Il bande à moitié. C'est un bon garçon tout simple, docile et serviable. Il est plutôt habitué à recevoir des caresses. Roger cherchant à le rassurer lui frotte les fesses dans un geste d'affection qui le rassérène un peu mais du même mouvement le pousse vers Andréï qui lui fait signe d'approcher avec un air de quelqu'un qui ne tolère pas qu'on lui résiste. Kris contourne la table, sans pouvoir s'empêcher de regarder le stylet long en acier posé à côté de l'assiette d'Andréï et qui lui fait si peur. Ce dernier s'empare de la verge de Kris qu'il masturbe énergiquement, la faisant bander au maximum en quelques secondes. Roger à l'autre bout de la table essaie de rassurer Kris:

  • Andréï va enfoncer le stylet dans ta verge, Kris. N'aie pas peur.



Kris rétorque d'un voix étranglée:

  • Est-ce que je vais avoir mal ?

Sans se soucier de la réponse, Andréï a déjà introduit le stylet par le méat du gland de Kris qui sursaute et ne peut s'empêcher de haleter de surprise et d'appréhension au fur et à mesure qu'Andréï enfonce le stylet plus profond :

  • C'est froid, Monsieur.

Dès que le stylet enfoncé dans l'urètre a atteint la base de la verge et tient en équilibre, porté par la verge toujours tendue, Andréï tourne avec délicatesse le pas de vis à l'extrémité qu'il tient entre ses doigts, provoquant la croissance rapide du diamètre du stylet qui tend l'urètre et les corps caverneux de la verge du garçon. L'élargissement devient rapidement douloureux pour Kris qui ne peut réprimer un gémissement. Andréï arrête de tourner le pas de vis, jugeant l'expérience pour le moment suffisante. Il se tourne vers les convives autour de la table:

  • Regardez ce que ça donne : une verge d'étalon ! Touchez-la, c'est spécial !

Kris doit faire le tour de la table en claudiquant de souffrance et faire passer de main en main sa verge tendue de l'intérieur à craquer. Il tient l'extrémité du stylet entre le pouce et l'index avec délicatesse comme s'il voulait ainsi atténuer les chocs. A chaque contact des mains des associés qui le palpent et lui serrent la verge, il grimace. Quand il revient jusqu'à Andréï, ce dernier commente:

  • Je peux encore la tendre davantage mais dans ce cas il faut l'immobiliser car il va bouger dans tous les sens.

Arnold proteste:

  • Mais quel intérêt ?

  • La souffrance fait sortir le côté animal des gars, on touche à leurs racines.

A la surprise des autres associés, Arnold approuve la proposition d'Andréï comme s'il voulait se faire une idée une bonne fois pour toutes :

  • On y va alors.

Kris se met à trembler de manière convulsive, complétement défait devant ce qui l'attend. Roger réagit:

  • Je ne sais pas si Kris est la bonne personne pour ce genre d'expérience !

Kris en profite, se tournant vers Arnold en larmoyant :

  • Pitié ! Epargnez-moi !



Arnold ne prend pas la peine de répondre et fait signe à Miros et Michalo de s'approcher :

  • Débarrassez la table complétement. On va y installer Kris dessus.

Pendant ce temps, Andréï a fait agenouiller Kris à ses côtés. Prenant un mors de bouche dans sa poche, il force le garçon à ouvrir grand la mâchoire et lui enfonce le mors jusqu'au fond de la gorge. La forte réaction instinctive de rejet plie Kris en deux pendant quelques instants, forçant Andréï à le retirer provisoirement pendant que le garçon éructe et est secoué par une toux violente, réussissant à se retenir juste avant le point de rendre son repas, haletant et peinant à reprendre sa respiration.

Andréï ne se démonte pas en regardant ses associés à tour de rôle en souriant:

  • Vous voyez, on touche déjà à l'essentiel.

Roger fait la grimace. Il n'aime pas les souffrances imposées à Kris et il le dit:

  • Je préférerais que vous épargniez Kris. Il ne mérite pas ces mauvais traitements.



Ni Andréï ni Arnold ne prennent la peine de lui répondre, préoccupés par la réussite de la première étape qui leur paraît d'emblée nécessaire: museler Kris qui grimace de douleur car sa verge a été fortement ballotée par les mouvements de rejet du mors et s'est davantage écartelée sur la tige en acier qu'il maintient tant bien que mal avec une main, tentant ainsi d'atténuer les chocs.

Arnold attend que Miros et Michalo aient fini de débarrasser la table de la salle à manger. Conscients de l'attention de leur maître, ils accélèrent le mouvement. Bientôt le bois sombre de la table apparaît quand la nappe est retirée. Arnold leur demande de se placer derrière Kris toujours às genoux pour le maintenir en position verticale quand Andréi va lui enfoncer le mors en pleine bouche. Les deux gars se placent tout contre le dos de Kris; debout, ils se penchent pour mieux placer leurs mains chacun autour d'une épaule et l'immobiliser tout en bloquant sa tête contre leurs bas ventres.

Quand ils ont affermi leurs prises, Andréï reprend sa manoeuvre consistant à faire ouvrir la mâchoire de Kris et de glisser sur sa langue et jusqu'au fond le mors. Cette fois-ci Kirs gigote à peine, fermement maintenu par la poigne des deux gars collés derrière lui. Quand Andréï déclenche le mécanisme qui déploie le mors au fond de la bouche contre la glotte et jusque dans les joues, Kris se tord sur place, de nouveau pris par une violente réaction de rejet instinctive, le souffle coupé. Cette fois-ci Andréï intervient pour le forcer à se contenir:

  • Contrôle-toi Kris ! Garde la bouche ouverte ! Laisse moi entrer !

Les yeux révulsés, Kris a des difficultés à retrouver sa respiration, empêché qu'il est par le mors qui fait siffler au passage chaque goulée d'air. Les deux gars collés contre lui par derrière le maintiennent bien serré et toujours à genoux. Andréï glisse rapidement ses doigts jusqu'à la gorge de Kris pour vérifier que rien ne vient obstruer le passage avant de les retirer pour éviter de se faire mordre involontairement par le garçon encore traversé de soubresauts instinctifs.

Andréï regarde ses associés d'un air triomphant avant de bizarrement caresser le front de Kris :

  • Personne ne peut se contrôler à ce niveau de contraintes. Pour moi c'est la plus belle des musiques que ce souffle court de Kris.

Andréï continue à caresser le garçon encore pantelant et retrouvant lentement sa respiration, de la même manière qu'il l'avait fait pour ses escorts, c'est-à-dire avec une familiarité soudaine et une brusquerie caractéristique de la manière dont on traite un animal. Il lui passe les mains sur le haut de la tête tout en lui caressant le cou qu'il serre par moments et sans prendre d'égard comme s'il en était propriétaire :

  • Mon gros chat, calme toi.

Kris finit par reprendre son souffle et par refermer ses lèvres sur l'embout du mors comme Andréï vient de lui proposer, joignant le geste à la parole. Ce dernier se tourne vers Arnold en souriant :

  • On peut passer à l'étape suivante maintenant. Il va falloir l'entraver.

Arnold renchérit en donnant un ordre au garçon qui grimace toujours et roule les yeux de peur maintenant qu'il ne peut plus s'exprimer par la parole :

  • Kris, installe-toi sur le dos sur la table.

Ce dernier se redresse lentement avant de monter avec précaution sur la table en s'appuyant sur un genou sous sa jambe repliée. Tous les associés le regardent avec convoitise, se retenant pour le moment de le toucher. Il ne reste pas longtemps à quatre pattes car les deux domestiques placés de part et d'autre font pression pour qu'il se retourne. Il le fait en s'affalant de tout son long, bientôt sa nuque aussi prend appui sur le bois de la table, le mors déformant ses lèvres. Tout son corps musclé et nu est offert sans défense, avec le stylet qui se dresse au bout de sa verge boursouflée et rougie. Il repose les mains le long de ses flancs comme s'il se livrait en désespoir de cause et sans aucune possibilité de pouvoir se protéger. Andréï tend des menottes à Miros et à Michalo qui comprennent qu'il faut qu'ils les passent aux poignets de Kris. Puis Andréï passe l'extrémité d'une chaîne dans une menotte avant de la passer par en dessous la table de l'autre côté pour faire accrocher l'autre extrémité à la deuxième menotte par Michalo. Comme ça, Kris peut bouger les mains mais pas les soulever . Andréï positionne Miros près de la tête de Kris pour la coincer contre la table si le besoin s'en fait sentir. Par contre, il décide de laisser les jambes de Kris libres afin de jouir de leurs mouvements de défense qui restera de toute façon impuissante. Il poste Michalo près des chevilles de Kris avec l'ordre de s'en saisir si nécessaire. Les associés se sont positionnés de part et d'autre des flancs de Kris, attendant le spectacle.

Andréï se tourne vers Arnold :

  • A vous l'honneur ! Vous pouvez manipuler le stylet pour l'élargir encore plus. Kris est prêt à endurer l'épreuve.



Arnold se penche en avançant lentement la main jusqu'au stylet dont il saisit le pas de vis au bout. Le corps de Kris se tend d'appréhension, saisi d'un tremblement irrépressible. Le garçon a fermé les yeux, comme s'il se préparait au pire. Effectivement, les doigts d'Arnold activent le pas de vis en continu, dilatant la verge de l'intérieur et provoquant une vague de douleur si forte qu'elle le fait se cabrer comme s'il voulait repousser la main par le seul mouvement possible de ses hanches qui poussent son bassin en avant, arcbouté par la pression de ses cuisses et de ses mollets. Un gémissement étouffé sort continument du fond de la gorge du garçon bâillonné par le mors.

Andréï réagit en adoptant ces mêmes mouvements qu'il a avec ses escorts, à savoir le traite comme un animal. Il agrippe les cuisses du garçon en les tirant vers le bas, comme pour le forcer à se rallonger complétement à plat :

  • Allez Kris, calme-toi. Tu as mal mais c'est tes maîtres qui le veulent ainsi. Tu dois accepter ce que t'imposent tes maîtres !

Roger dépassé par la violence de la scène le caresse aussi mais sur le flanc comme pour l'apaiser avec un geste plus naturel, faisant référence à plus d'humanité. Arnold par contre est pris dans la spirale de ce qu'il vient d'infliger à Kris. Il se saisit presque distraitement de la verge dilatée à craquer de Kris et passe son pouce sur les veines qui saillent, coinçant la peau sous ses ongles, comme s'il voulait faire encore plus mal à Kris qui réagit en se débattant un peu plus et en gémissant plus fort.

Andréï voyant qu'Arnold est pris au piège de la souffrance infligée arbitrairement et férocement, lui sourit:

  • Est-ce que vous me permettez de compléter en posant un autre instrument dans son trou ?

  • Celui que vous avez mis dans le cul de Miros ?

  • Oui, c'est ça.

Arnold semble hésiter puis fait signe qu'il est d'accord. Andréï sort une sorte d'entonnoir en acier de sa poche qu'il vient placer sur le trou de Kris après lui avoir tenu les cuisses écartées le temps de mieux mettre à nu l'orifice. Quand il enfonce l'entonnoir, Kris se cabre de nouveau, manoeuvre sans espoir pour tenter d'échapper au métal qui le déchire à l'intérieur. Andréï ne se démonte pas et tourne le pas de vis qui dilate la circonférence de l'entonnoir, provoquant de nouveaux gémissements de Kris accompagnant les mouvements désordonnés de ses hanches.

Andréï se tourne vers les associés éberlués:

  • C'est un vrai étalon ! Le dresser est un vrai plaisir !

John et Robert se regardent mal à l'aise. Quant à Roger, on dirait qu'il va éclater en sanglots tellement il a l'air contrarié.



Arnold se rend compte soudain du hiatus qui s'est creusé avec les autres associés. Il se retourne un instant pour constater que les autres gars restés à la cuisine sont rassemblés bouche bée sur le pas de la porte pour regarder ce qui est en train de se passer sur la table de la salle à manger. Miros et Michalo font la tête comme s'ils étaient forcés de participer à un méfait.

Par contre, Andréï tout à son affaire et en prise directe avec le corps du garçon supplicié et réagissant au quart de tour à ses attouchements, passe ses mains entres les fesses de Kris et sur sa verge comme si c'était sa propriété, soucieux de marquer son territoire et ravi de provoquer des sursauts de douleur pour mieux l'admonester de se soumettre encore et toujours.

Arnold a soudain envie de siffler la fin de partie. Il demande à Andréï de retirer ses ustensiles du corps du garçon qui se tord de souffrance sous leurs yeux. Andréï à a la présence d'esprit de comprendre qu'il est allé trop loin et se trouve en porte à faux par rapport à ses associés, Arnold ayant brusquement viré de bord.

L'entonnoir refermé et retiré ainsi que le stylet, le mors suit bientôt le même mouvement, libérant Kris qui éclate en sanglots silencieux, écroulé de tout son long sur la table pendant que Michalo et Miros le libèrent de ses menottes sur un signe d'Arnold. Puis Roger aide le garçon à se redresser et à descendre de la table avant de l'entraîner en silence vers leur chambre.

Andréï essaie de reprendre la main:

  • Comme je vous l'ai promis, je vais organiser une soirée ce soir.

Arnold se retient de tout annuler car l'ennui gagne vite et les soirées sont longues sur le domaine :

  • Andréï, la seule consigne, ne les abîmez pas trop !

  • D'accord, comptez sur moi, tout est dans le doigté, faire souffrir mais pas trop, en gardant la situation sous contrôle.

  • C'est exactement ce que je vous demande. A plus tard.

Ils se séparent dans une atmosphère lourde, pleine d'arrières pensées.



Par Leandre - Publié dans : Les préparatifs d'Andréï - Communauté : Roman gay Rose
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