Dimanche 6 mars 7 06 /03 /Mars 19:27

 

Maintenant que l'exercice est terminé, vient le moment de la détente. Sur un signe d’Andréï, tous les gars se sont regroupés autour de lui. Ils attendent d'être libérés des ustensiles qui ont envahi leur chair. Encore entravés, leur prière silencieuse n'en est que plus pressante au travers de leurs regards qu’ils osent croiser avec celui d’Andréï.

  • Bon, les gars, vous avez bien travaillé. On va prendre une pause. Je vais vous libérer.

Andréï prend son sac et se tournant vers Toby, lui fait signe d'approcher. Il lui fait ouvrir la bouche avant de se concentrer sur le clapet de fermeture du mors qu'il débloque avant de pouvoir lui retirer délicatement l'appareil qu'il dépose dans le sac. Ensuite s'emparant de la verge du garçon, il déverrouille le pas de vis du stylet afin de lui faire retrouver un diamètre réduit et de pouvoir le retirer de la verge du gars, en le faisant coulisser rapidement.

  • Te voilà libre, Toby.

Ce dernier s'ébroue avec délice, se frottant la mâchoire de la main, tout en se raclant la gorge et en remuant les hanches pour agiter sa verge. Il se gratte la nuque comme s’il était embarrassé, l’autre main le long du corps. On dirait qu'il a quelque chose à demander. C’est un numéro qu’ils ont déjà mis au point entre eux deux :

  • Merci Monsieur. Je voudrais vous demander...

  • Quoi donc ?

  • J'ai bien travaillé et vous ai obéi tout du long... Est-ce que je pourrais avoir ma récompense?

  • Tu veux un sucre ?

Tous les gars sourient en silence encore entravés mais soudain intéressés. L’atmosphère est montée d’un cran. Cette fois-ci, ce n’est pas de la crainte mais l’envie de se défouler qui les envahit peu à peu.

  • Non Monsieur.

  • C’est quoi que tu veux ?

  • Je voudrais me détendre vraiment Monsieur.

  • Tu veux aller courir ou soulever des poids ?

  • Non Monsieur.

Toby a abaissé sa main depuis sa nuque et commence à se caresser doucement la verge, un sourire en coin, les yeux baissés.

  • Tu veux jouir ?

  • Oh oui Monsieur.

Toby se met à jouer avec sa verge qui ne tarde pas à gonfler pendant qu’il gémit doucement de plaisir. Tous les autres gars respirent plus fort, pris à leur tour par l’envie d’en faire autant mais encore empêchés par le stylet qui les embarrasse.

 

Andréï a habitué ses escorts à éjaculer dans sa bouche en guise de récompense. La petite comédie qu'il fait jouer à Toby est pour présenter le mieux possible aux autres gars ce qui va se passer pour qu'ils acceptent eux-aussi de le faire et s'y adonnent de bon coeur et sans retenue. Il se tourne vers Toby:

  • C'est quoi ta récompense ? Tu peux jouir tout seul si tu veux.

Toby fait la grimace :

  • Vous me sucez très bien, Monsieur Andréï.

  • Ah bon ? Cela te plait ?

  • Oh oui, Monsieur.

Miros et Michalo répriment un sursaut de surprise. Tim a l'air tout de suite intéressé. Sans vouloir s'interrompre, Andréï se tourne vers Miros, lui faisant ouvrir la bouche pour lui retirer le mors, avant d'en faire autant avec le stylet enfoncé dans la verge du garçon. Il continue rapidement son tour en débarrassant des appareils toutes les bouches et les verges des gars l'un après l'autre. Ils s'ébrouent à tour de rôle au fur et à mesure qu'ils sont libérés. Andréï est revenu tout contre Toby dont il prend la verge en main et qu'il masturbe doucement pendant que le garçon gémit en se contorsionnant doucement:

  • C'est ça que tu veux ?

  • Oh oui Monsieur !

Andréï se tourne à la cantonade:

  • Est-ce que vous en avez envie vous aussi ?

Miros et Michalo ont rougi mais finissent par approuver de la tête sous le regard insistant d'Andréï. Christian sourit mais c’est sur commande. Tim a l'air ravi. Kris semble hésiter avant de dire oui en rougissant. Quant à Sean, il ne paraît pas intéressé, l'air ailleurs.

  • Ce n'est intéressant que si vous vous donnez à moi, si vous vous laissez aller. Toby par exemple sait comment y faire, pas vrai ?

Toby a fermé les yeux et renverse la tête en arrière, un rictus de plaisir sur les lèvres serrées, les mains sur les hanches pendant qu'il pousse doucement par à coups sur la main d'Andréï qui continue de le masturber.

  • Allez-y Monsieur. Vous pouvez me traire. Je vais vous donner du bon sperme ! Vous allez pouvoir l'avaler !

  • Est-ce que j'en aurai assez ? Je suis très goulu !

  • Oui Monsieur. Il y en aura autant que vous voudrez !

Andréï regarde à la cantonade.

  • Vous voyez, Toby se prépare à me donner tout son sperme. Et moi j'aime l'avaler. Vous avez envie de vous faire plaisir tout en me faisant plaisir ?

 

Ils approuvent tous de la tête, un petit sourire satisfait au coin des lèvres. Seul Sean continue à regarder ailleurs. C'est donc gagné pour tous les autres. Andréï s'interrompt un instant, lâchant la verge de Toby pour sortir des masturbateurs de son sac et les distribuer à l'entour. Il s'arrête pour s'emparer de la verge tendue de Kris et la glisser dans le masturbateur avant de montrer au groupe comment activer l'outil en l'agitant de haut en bas. Bientôt, Kris est parcouru de soubresauts, haletant et se contorsionnant autour de la main d'Andréï qui tient sa verge prisonnière dans le masturbateur qui amplifie les frottements et la dilatent au point de lui faire mal. Andréï finit par s'interrompre, faisant poser les mains du garçon sur le masturbateur pour l’activer à son tour.

  • Vous pouvez vous exciter jusqu'à arriver près de l'orgasme. Mais pour ça, vous vous arrêtez juste avant car vous me le réservez ! D'accord ?

 

Ils commencent tous à se masturber lentement et consciencieusement, d'abord en regardant sur le côté, l'air concentré avant que leurs visages ne soient traversés de grimaces de plaisir et qu'ils en ferment les yeux, pris par ce qui monte en eux.

 

Andréï revient tout près de Toby et approche une chaise sur laquelle il s’assoit tranquillement avant de retirer le masturbateur de la verge du garçon dont les reins s’agitent, parcourus de spasmes incessants. Andréï reprend posément en main la verge de Toby toujours tendue au maximum. C'est le commencement de la séquence qui va déboucher immanquablement sur l'éjaculation de Toby au fond de la bouche d'Andréï. Même s'il le sait, Toby n'en peut plus à force d'attendre. Andréï approche ses lèvres du gland de Toby qui souffle de plaisir, comme s'il arrivait au but. Andréï entrouvre ses lèvres avant de lécher le sommet du gland et de le laisser pénétrer un peu. Toby gémit du fond de sa gorge comme si cette entrée entre les lèvres d'Andréï était un moment de plaisir particulier pour lui. Andréï se prend au jeu et repousse de la main le bas ventre du garçon, relâchant la verge gonflée qui ressort à l'air libre, ce qui n'a pas l'air de plaire à Toby qui supplie Andréï de le reprendre. Andréï pour toute réponse lèche langoureusement et longuement les parois de la verge comme s'il voulait par cette seule manoeuvre faire monter lentement le sperme du fond des bourses de Toby tout le long du canal séminal. La connivence entre eux est totale : le garçon va finir par déverser son liquide brûlant au bout de sa verge gorgée de sang au fond de la gorge d'Andréï . Mais ce dernier prend son temps alors que Toby est de plus en plus pressé et n'a de cesse par de petites poussées de réinstaller sa verge dans la bouche d'Andréï qui l'entrouvre comme distraitement, la laissant progressivement se remplir de la verge gonflée à bloc du garçon dont le désir augmente de minute et minute. Andréï continue de lécher langoureusement la chair du gland avant de la mâchonner doucement, tout en masturbant la racine de la verge de ses doigts, faisant s'agiter plus fort les reins de Toby qui gémit sourdement sans interruption, se laissant de plus en plus aller à l'approche de la jouissance. Si la manoeuvre va aboutir immanquablement à faire se déverser le liquide chaud et visqueux au fond de sa gorge, Andréï n'en demeure pas moins intéressé par d'autres parties du corps de Toby. Il déplace ses mains pour caresser les fesses du garçon, lui enfoncer les doigts dans le trou, sentant qu’il peut faire ce qu'il veut de ce corps qui n'aspire qu'à la délivrance par le seul canal qu'il a placé dans sa bouche. Toby a fini par poser ses mains sur les épaules d’Andréï, prenant appui pour mieux se laisser aller à ce qui monte en lui: la connivence entre eux deux s'accroit encore du fait de la pression qui monte et de leurs habitudes de plaisir partagé. Les autres gars regardent du coin de l'oeil, excités par ce qui se passe, tout en continuant à pomper consciencieusement sur leur masturbateur, leur visage chaviré par le désir, creusant de plus en plus le passage vers leur propre plaisir.

 

Quand le moment de délivrance approche, Toby n'a aucun scrupule à crier avant d'éjaculer au fond de la bouche d'Andréï. Il se sent au contraire pleinement autorisé à le faire car il tient ainsi une forme de revanche : il se sent plus proche, plus en phase, plus accepté par Andréï, pendant qu'il répond à son plaisir secret et qu'il se prépare à faire gicler son sperme entre les joues et sur la langue de ce dernier. Brutalement reconnaissant, Toby réalise soudain combien Andréï compte pour lui, s’il n'est pas sûr de la réciproque. Malgré les comportements quelquefois féroces de ce dernier, Toby l'aime bien car il le trouve original dans sa recherche du plaisir. Avec lui, on ne s'ennuie jamais. Toby a envie de se fondre en lui sans aucun remord ni regret et de lui donner ce qu'il a de plus précieux, dans une offrande discrète mais totale. Quand le moment de l'éjaculation arrive enfin, Toby se laisse complétement aller et crie à pleine gorge, conscient de profiter d'un moment particulier et exceptionnel où leurs rôles sont gommés et où ils peuvent communier dans le même transport au-delà du réel, oublieux de leurs corps et de leurs différences. Toby se surprend à caresser le haut du crane d'Andréï pendant qu'il finit de décharger. Dès que Toby a terminé d'éjaculer, après une dernière caresse, Andréï se désengage rapidement en sortant la verge de sa bouche avant de repousser doucement le garçon sur le côté. Ce dernier peine à réprimer un mouvement de regret en interrompant une dernière caresse quasi involontaire.

 

Andréï fait déjà signe à Christian de venir se placer face à lui toujours assis sur la chaise. Christian n'a que le temps de retirer le masturbateur et de le poser à terre qu'Andréï s'est déjà emparé de sa verge pour se mettre à sucer goulument le gland dilaté et gorgé de sang qu'il lèche comme un cornet brûlant, déclenchant des soubresauts accompagnés de petits gémissements du garçon qui a fermé les yeux, déjà emporté par les prémices de la vague de jouissance. Un lien fort s’est également installé entre eux. Christian lui-aussi est pris d’une vague d’affection inextinguible pour Andréï qu’il admire somme toute depuis qu’il le connait. Il n’ose pas poser ses mains sur les épaules d’Andréï. C’est ce dernier qui le force à les placer autour de son cou. C’est en tenant Andréï enlacé que Christian éjacule, les yeux révulsés, criant sourdement, déchargeant tout ce qu’il peut du liquide brûlant comme gage de son attachement à celui qui le fait souffrir mais aussi sait lui donner des moments comme celui-ci.

 

A présent, Andréï passe en terrain plus ou moins inconnu : les autres escorts n’ont pas eu ce type de rapport avec lui jusqu’à présent, encore moins Miros et Michalo. Il s’en pourlèche les babines par avance. Relâchant la verge de Christian et après une dernière caresse sur ses fesses,

 

Andréï le repousse doucement avant de faire signe à Kris de s’approcher. Ce dernier a juste le temps de déposer le masturbateur avant d’obtempérer. C’est un morceau de choix : une carrure athlétique, des muscles gonflés sous une peau soyeuse, des cuisses puissantes, un fessier ferme, une belle verge gonflée et bandée à craquer, rendant sa démarche pataude quand il s’approche. L’expression sur son visage est celle d’un adolescent qui s’apprête à être transporté ailleurs, un ravissement annoncé et visiblement attendu. Andréï décide de prendre son temps : il va falloir imprimer sa marque sur le gars, en faire un terrain conquis pour des explorations plus profondes. Agrippant les hanches de Kris qu’il immobilise debout tout contre ses lèvres, il commence à lécher les parois de la verge, provoquant de petits cris de gorge du garçon qui frémit de tout son long. Andréï se dit que ça vaudrait le coup de le marquer dans sa chair pour qu'il se rappelle le chemin du plaisir avec lui. Il faut lui donner l'envie de se soumettre pour souffrir et en même temps de jouir: s'il n'est pas masochiste, il faut le lui apprendre. Andréï remonte lentement les mains pour agripper les seins du garçon. Si les lèvres d'Andréï s'entrouvent sur le gland de Kris qu'il lèche consciencieusement, ses mains continuent à s'occuper en haut à lui pincer férocement les tétons comme s'il voulait associer souffrance et plaisir dans leur relation. Le garçon frémit et gémit doucement sous les souffrances qui lui infligent les doigts d'Andréï tandis qu'il se laisse aller à la langue de ce dernier qui l'excite au plus haut point. Kris se sent désemparé, partagé entre souffrance et plaisir, perdant le contrôle de son corps, réduit à réagir à ce qui lui inflige Andréï. Les ongles de ce dernier triturent férocement la peau de ses tétons, provoquant des sursauts de douleur du garçon pendant que sa verge s'enfonce délicieusement sur la langue d'Andréï. Kris ouvre la bouche dans une prière silencieuse, tête renversée en arrière. Il tente une parade prudente: ses mains relevées viennent pousser légèrement sur les poignets d'Andréï comme s'il voulait les écarter. Andréï apprécie la mollesse de la réaction qui démontre le degré de soumission du garçon.

 

Peau contre peau, Andréï prend du plaisir à continuer à triturer les tétons de Kris un moment pour bien lui montrer que c'est lui qui décide. Il déclenche encore quelques frissons et gémissements de douleur avant d'accepter ce qui lui est si gentiment demandé. Mais si Andréï finit par écarter ses ongles des tétons de Kris, ce n'est pas pour relâcher la pression car le voilà qui laboure le dos du garçon, provoquant de nouveaux sursauts de souffrance et le forçant à se rapprocher de lui, enfonçant sa verge plus profond dans la bouche d'Andréï.. Ecartelé entre plaisir et souffrance, des larmes viennent humecter les joues de Kris, ce qui a le don d'émouvoir Andréï qui surveille de près les réactions du garçon et se sent envahi d'une vague de bienveillance. Il cesse de le griffer et se met à le caresser sur les fesses tout en continuant à le sucer profondément. Kris n'en demandait pas tant: incapable de se contrôler plus longtemps, ses hanches commencent à s'agiter pendant qu'il lime de sa verge gonflée à bloc la bouche d'Andréï. Ce dernier décide d'accompagner le mouvement. Bientôt Kris se fige, crispé et au bord du moment où les vannes vont s'ouvrir, juste avant de crier et de décharger tout ce qu'il a accumulé au fond de la gorge d'Andréï qui avale tout ce qu'il peut sans cesser de tenir les fesses de Kris, une manière de le contrôler et de le lui faire bien sentir. Quand les mouvements qui agitaient le bassin de Kris se sont calmés et que sa verge repose moins gonflée mais toujours aussi sensible dans la bouche d'Andréï, c'est le moment d'une dernière caresse de la langue de ce dernier avant de la libérer, comme si c'était un gros bonbon qu'il faut cracher à regret après l'avoir bien sucé. Kris s'est plié docilement aux dernière manipulations en continuant à sourire, ayant tacitement tout accepté de la part d'Andréï qui sent pourtant que ce n'est pas de la soumission servile mais l'envie de lui plaire jusqu'au bout, ce qui lui fait plaisir évidemment : Kris est une perle rare que ne mérite pas Roger. Dans tous les cas, il faudra en profiter aussi.

 

 

 

Andréï se lèche intérieurement les babines: qui va-t-il sucer maintenant ? N'est-ce pas l'heure de Miros ? Ils ont à peine besoin d'échanger un regard et Miros a déjà compris qu'il est le prochain. Souriant de ses lèvres fines et ourlées, il se sait séduisant et n'a pas besoin de s'afficher pour paraître ce qu'il est, un très beau garçon parfaitement proportionné, avec des muscles qui saillent sur les épaules, le ventre, les cuisses, une peau claire et lisse, des joues imberbes, un vrai Apollon. Il a retiré son masturbateur mais en le gardant à la main pendant qu'il s'approche d'Andréï. Miros est resplendissant, tous muscles dehors, la verge dressée fièrement, prêt à se faire empoigner par les mains avides d'Andréï que ce dernier doit calmer comme si elles étaient sur le point de lui échapper. Le contact entre leurs peaux est mesuré et doux. Andréï se retient de l'impulsion de lui faire mal tout de suite pour mieux marquer son territoire. Il a un certain respect pour lui, ce qui est rare. Andréï lui prend délicatement le masturbateur qu'il tient en main pour le déposer au pied de la chaise. C'est le moment de l'étreinte. Par où commencer ? Miros sourit doucement, parfaitement détendu et offert, ce qui est une preuve de confiance qui touche Andréï plus qu'il ne veut se l'avouer. Il prend tout de suite le gland de Miros entre ses lèvres pour le brouter d'abord doucement puis de plus en plus fortement pendant que le garçon se tend en arrière en fermant les yeux, comme s'il voulait uniquement se concentrer sur le conduit du plaisir qui s'installe entre eux. Andréï cherche un moyen de posséder ce grand corps sans pour autant le faire souffrir mais c'est difficile de résister à ses pulsions.

 

Andréï a relevé ses mains et déjà empoigné les tétons de Miros qu'il cisaille entre ses ongles, une sorte de facilité qu'il s'octroie avec délices, faisant tressauter le garçon qui grimace sous la douleur qui irradie dans toute sa poitrine. C'est soudain comme une porte qui s'ouvre en grand: c'en est fini de tout respect admiratif et bon papa, Andréï a une envie irrépressible de le faire souffrir davantage, il faut qu'il paie pour sa beauté. Andréï serre ses lèvres pour mieux garder la verge dilatée, fichée dans sa bouche et qu'il caresse de l'intérieur de sa langue : il le tient ainsi prisonnier tout contre lui, sans défense alors que ses ongles le griffent comme s'il voulait déchirer la peau satinée pour accroitre la tension entre eux, associant les deux sensations opposées, provoquant des mouvements contradictoires de rejet suivis par d'autres dénotant une implication plus forte et plus éperdue. Miros est gagné par ce maelström de sensations opposées, complétement subjugué par la vague d'agressivité qui s'est emparée d'Andréï et le fait cruellement souffrir à dessein. Il faut bien qu'il encaisse mais c'est dur de se retenir de réagir et de ne pas tenter de sortir de ce cercle infernal. Les ongles d'Andréï se sont déplacés de ses tétons vers ses épaules. Le mouvement des mains est lent à dessein, permettant à ce dernier de griffer longuement la peau des pectoraux du garçon. Andréï prend plaisir à sentir Miros se crisper et frissonner sous la piqure continue de ses ongles comme s'ils lui déchiraient la peau. Andréï a englouti la verge du garçon pour mieux le coller à lui pendant qu'il continue à le griffer dans le dos puis sur les fesses, provoquant de petits gémissements de douleur qui le ravissent, une manière de mieux faire corps avec lui. Miros n'a toujours pas tenté d'écarter Andréï ou même de l'interrompre, une manière passive de se fondre en lui. Andréï veut pourtant obtenir une réaction pour pouvoir mieux jouir de son pouvoir de faire souffrir : il enfourne trois doigts qu'il tient accolés dans le trou de Miros, provoquant un long gémissement et un haut le corps du garçon qui vient de poser ses mains au bas de son dos sur les poignets d'Andréï, comme s'il voulait silencieusement lui demander d'arrêter avant qu'il n'aille plus avant. C'est une manière pour Andréï d'opérer la jonction: il faut que Miros accepte d'être violenté. C'est à ce prix qu'il pourra lui accorder sa jouissance. Oppressé par la douleur qui irradie de son fondement, Miros se sent désemparé : il sent bien qu'Andréï lui demande quelque chose. Il est prêt à la lui accorder à condition qu'il l'exprime. Mais Andréï est trop empêtré dans son phantasme de douleur imposée et secrètement partagée pour pouvoir sortir de la fascination qui le pousse à faire jouir et souffrir en même temps.

 

Pour Miros, la seule option est d'aller jusqu'au bout de ce que lui propose Andréï et de se rabattre vers son propre plaisir qui tend à vaciller au milieu des souffrances qui le font tressaillir sans cesse. C'est bien ce genre de soumission absolue que recherche Andréï : un corps torturé qui continue pourtant à obéir en allant vers ce qui peut paraître une marche forcée vers un plaisir étroitement associé à la douleur. Parcouru de frissons contradictoires, Miros commence à pousser doucement sa verge à coups de hanche vers le fond de la bouche d'Andréï. Ce dernier sent bien que Miros s'abandonne, prêt à aller jusqu'au bout de la souffrance pour trouver la délivrance, ce qui le ravit d'aise. En réaction, Andréï a enfoncé ses doigts plus profond dans le fondement du garçon. Cette fois-ci, il ne va pas relâcher la pression comme il l'a fait avec Kris, une manière d'ouvrir les vannes du plaisir comme récompense après l'épreuve. Il est déjà blasé, il lui faut davantage : la jouissance est à trouver au coeur de la souffrance. Miros a l'air d'avoir compris car il s'applique à limer dans la bouche d'Andréï par des petits coups de hanche qui s'accélèrent comme s'il avait accepté de ne pouvoir faire cesser l'écartèlement douloureux de son fondement que lorsqu'il aurait éjaculé dans la bouche d'Andréï. A force de pousser et de gémir, de plus en plus tendu, Miros finit par exploser au fond de la bouche d'Andréï dans laquelle il décharge les jets chauds de son liquide séminal, criant de plaisir tout autant que de douleur, sous la double pression dans son conduit séminal et son fondement qui le brûlent autant l'un que l'autre. Quand Andréï relâche à la fois la verge du garçon en la laissant sortir de sa bouche tout en retirant ses doigts du trou de ce dernier qu'il a trituré sans vergogne, Miros pousse un gros soupir de soulagement sans pour autant pouvoir s'écarter de celui qui vient de le posséder et à qui il s'est donné comme il ne l'avait jamais fait jusqu'alors. Il faut ce que ce soit Andréï qui le repousse en lui faisant signe de s'écarter pour que Miros reprenne ses esprits et retrouve le contact avec la réalité ambiante. Il jette un oeil vers Michalo qui s'applique sur son masturbateur et le regarde en souriant doucement comme pour le rassurer sur son état d'esprit: il n'a pas vraiment peur. Miros note que Michalo a l'air de bien s'entendre avec Tim qui se tient à ses côtés, comme s'ils s'excitaient l'un l'autre à pousser plus fort sur leur engin respectif. Miros s'ébroue tout en s'écartant davantage d'Andréï pour s'assoir à côté des autres qui sont déjà passés et se prélassent à même le sol, en appui sur leurs mains et appréciant de se mettre à demi allongés sur le côté comme s'ils étaient à la plage, en train de récupérer et en attente de la prochaine épreuve.

 

Déjà Andréï regarde quelle sera sa prochaine proie. Michalo lui sourit à son tour avec gentillesse. Andréï n'aime pas la mignardise : un gars trop aimable et disponible l'exaspère. Il réfrène une mauvaise pensée: écarteler ce jeune, le transformer en légume. Il lui fait signe d'approcher. Michalo obtempère souplement. Il a une peau douce et satinée, imberbe, avec des muscles qui roulent sans une once de graisse sur le ventre ou ailleurs. Il a un nez mutin, des lèvres fines, de beaux yeux bleu bien dessinés. Il est appétissant selon certains critères. Andréï a envie de le serrer jusqu'à rompre quelque chose dans cet arrangement trop parfait. De plus le jeune gars a l'air assez narcissique et content de lui. Tout ce qu'Andréï à la fois n'aime pas mais sait apprécier. Michalo s'arrête tout contre lui, offert et frémissant, ayant enlevé le masturbateur et lui présentant sa verge tendue au maximum. Il est à la fois fier et vulnérable, ce qui finalement excite Andréï. S'emparer du bout de sa verge et la triturer sans façon est déjà une manière de prendre possession de lui. Michalo n'a aucune défense et ne cache pas à la fois son embarras et sa fierté d'être manipulé par un patron comme Andréï. Le garçon continue à sourire machinalement en fermant les yeux alors qu'il se tend par moments en réaction aux tractions d'Andréï qui s'amuse à serrer durement la verge et à la tordre dans tous les sens. Le garçon bande encore un peu plus, tendu jusque dans la nuque comme s'il atteignait le point de rupture, les pieds en canard, haletant doucement, complétement offert. Andréï ne peut s'empêcher de lui caresser les épaules et abaissant tout de suite ses mains, de lui malaxer doucement les fesses avant de revenir sur sa verge. Michalo flatté continue à sourire, les yeux baissés mais attentif, presque trop soumis pour Andréï, qui se demande s'il va le masturber sans y trouver un quelconque intérêt. On dirait un animal domestique de bonne qualité qui demande sa caresse routinière, à savoir être choyé le plus souvent possible tout en se donnant à son maître.

 

Andréï s'interrompt un instant pour se tourner vers les autres gars, ceux qui sont déjà passés et se prélassent à moitié allongés sur le sol du gymnase, discutant entre eux à voix basse en le regardant à la dérobée avec déférence et ceux qui attendent, Tim et Sean, debout et toujours en train de se masturber consciencieusement. Tim lui sourit de manière entendue tandis que Sean a l'air de s'ennuyer ferme, les yeux dans le vague et la main agitant sporadiquement le masturbateur enfoncé sur sa verge. Andréï recentre son attention sur Michalo et se dit qu'il est temps de vidanger le garçon. Toujours assis, il lui suffit d'entrouvrir les lèvres pour gober le gland de Michalo debout tout contre lui et qui réagit tout de suite en haletant doucement et se contorsionnant comme s'il allait décharger bientôt. Andréï choisit de le caresser au lieu de le griffer. Il lui passe les mains sur les cuisses, vient serrer ses bourses, repasse sur ses fesses, remonte le long de son dos tout en absorbant de plus en plus sa verge dans sa bouche et qu'il lèche avec application. Michalo commence à gémir doucement en poussant par petits coups de sa verge vers le fond de la bouche d'Andréï à la manière d'un jeune animal en rût. Andréï décide de le laisser éjaculer sans lui faire de mal, une manière de ne pas interférer avec l'offrande que le jeune gars lui fait de sa naïveté et de sa sincérité. Bientôt Michalo éjacule à petits jets pendant qu'Andréï se surprend à le caresser tout simplement alors que le garçon lui a passé les mains autour du cou dans un geste tendre et touchant qu'il interrompt, gêné, dès qu'il reprend ses esprits.

 

Sur une dernière caresse sur les fesses, Andréï écarte Michalo et fait signe à Tim de s'approcher. Ce dernier tout sourire s'avance en retirant son masturbateur pour mieux s'offrir aux mains du maître qu'il s'est choisi et qu'il lui faut séduire puisqu'il a été chassé du lit d'Arnold pour y être remplacé par Miros. Andréï sait bien qu'il a tout pouvoir sur Tim puisqu'il lui a promis de l'écarteler dans ses tréfonds et que le jeune gars a accepté. C'est donc une entrée en matière que cet épisode. Andréï retrouve ses automatismes: il agrippe les fesses de Tim, qui se tient légèrement tremblant devant lui, lui présentant sa verge tendue comme une offrande, une manière de tenter de l'amadouer en lui montrant sa soumission. Mais Andréï continue à lui fourrer ses doigts dans son trou, poussant si fort dedans qu'il le secoue comme un prunier, agitant sa verge comme une tige qui se plie dans le vent avant de l'aspirer entre ses lèvres sans pour autant se retirer de la prise profonde de ses doigts qui vrillent le tréfonds du garçon qui grimace de souffrance et se retient de gémir. Arnold n'était pas tendre quand il s'enfonçait dans le cul de Tim mais cette fois-ci ce dernier a besoin de toutes ses forces pour se contenir et ne pas céder à la panique sous la pression des doigts d'Andréï qui semblent chercher à le perforer à force de le dilater et de pousser au fond de lui. Le garçon résiste comme il peut, à la limite d'éclater en sanglots et de demander grâce.

 

Andréï se sent redevenir ce qu'il est : un vampire qui se nourrit de la chair écartelée et du sperme des beaux garçons. Tim est plutôt mignon s'il n'a pas un solide gabarit, un jouet presque parfait. Andréï a une envie urgente de lui sucer les doigts, comme s'il fallait mieux encore s'emparer des extrémités du garçon. L'idée qui le hante est de le désarticuler, de le démembrer pour mieux le toucher dans ses centres vitaux, s'approcher de son flux de vie. Andréï met son idée à exécution, abandonnant soudainement la verge du garçon qu'il le fait sursauter de surprise et bientôt d'effroi devant la voracité de cette bouche qui aspire bruyamment la peau des doigts de sa main droite. Tim n'ose plus rapprocher sa verge de la bouche d'Andréï dont il a peur qu'elle l'aspire toute entière. Il est envahi par un sentiment sourd de danger. Tétanisé par la crainte de ce qui vas se passer et pourtant comprenant qu'il ne peut pas éviter le retour des lèvres goulues d'Andréï sur sa verge, Tim se crispe entre les mains de son maître qui jouit de sentir la tension qui le parcourt sous forme d'un tremblement irrépressible dans le dos et les fesses. Après un court moment où tout est en suspens, Andréï se calme un peu, relâchant les doigts qu'il mordillait, avant d'engloutir de nouveau la verge du garçon qui gémit sourdement, comme s'il voulait atténuer le choc de la succion et prévenir Andréï par une prière implicite qu'il allait avoir mal. Ce dernier a la présence d'esprit de comprendre la supplique silencieuse de Tim et ne se lâche pas trop: il se dit que c'est un gros doigt dont il mordille le bout au lieu de tirer dessus selon sa première impulsion dangereuse car impossible à contrôler et qui aurait pu se terminer en morsure féroce. Un accord fragile et tacite s'installe entre eux: Andréï se concentre sur l'orifice d'où jailliront les jets de liquide chaud et visqueux qui leur apporteront plaisir et satiété, au moins provisoirement pendant que Tim doit se motiver. Il est supposé devoir quitter la propriété si Andréï ne le retient pas puisqu'Arnold s'est débarrassé de lui. Le garçon se concentre pour mieux répondre à la demande d'Andréï en mimant d'être excité, Il ose caresser la tête d'Andréï légèrement et sans insister, manière de montrer non seulement qu'il collabore mais qu'il est attiré par son nouveau maître. Andréï se laisse toucher par le stratagème et s'attendrit sur la fragilité apparente de Tim qui se combine avec une certaine capacité à résister à la souffrance et au stress. Ce dernier finit par haleter, pris par l'arrivée du sperme qui le fait se figer au bord d'une transe qui l'envoie, quand les vannes s'ouvrent, pantelant et comme pris de convulsions entre les bras d'Andréï dont les doigts continuent à fouiller et dilater profondément l'intérieur de son trou pendant qu'il décharge tout ce qu'il peut, espérant ainsi se soulager mais aussi impressionner Andréï. Il y est peut-être arrivé car ce dernier sourit quand il libère la verge de Tim et retire ses doigts des profondeurs de son cul. L'épreuve est terminée. Tim peut souffler : il a passé le test sans être tombé en disgrâce. Il ose espérer avoir même gagné quelques points qu'il lui faudra conforter quand Andréï le mettra sur le sling. Il s'y prépare mentalement, serrant les dents et en faisant le gros dos pendant qu'il rejoint ses camarades vautrés sur le sol du gymnase et récupérant un peu des tensions subies lors de leurs passages respectifs entre les doigts et la bouche de leur maître.

 

Andréï se tourne vers Sean qui fait semblant de ne pas avoir remarqué que son tour est venu. Il continue à se limer consciencieusement comme demandé avec le masturbateur, le regard dans le vague. Andréï lui fait signe d'approcher. Sean obtempère, le regard baissé, l'air buté, comme s'il se préparait à un intermède déplaisant et cachant mal son appréhension. Andréï sent la colère monter en lui. Sean a déjà chuté lourdement tout à l'heure quand il a dû s'agenouiller sur l'estrade, après avoir reçu dans le cul l'entonnoir qui l'a écartelé au point de lui faire perdre l'équilibre. Cétait une deuxième punition après sa perte de connaissance suite au mors placé dans sa gorge obstruée par son vomi. Andréï oscille entre l'envie de lui donner une nouvelle punition en le faisant souffrir encore davantage et celle de le ridiculiser devant ses collègues. Sa barbe courte lui donne un air de faux mâle qui peut plaire à son maître John mais qui n'impressionne pas du tout Andréï. Il a l'air suffisant et prétentieux, une fausse protection alors qu'il tremble intérieurement. Il ne mérite pas sa place d'escort aux yeux d'Andréï car il n'est pas assez souple et docile. Il lui fait signe de retirer le masturbateur, ce que Sean fait lentement et docilement, délivrant sa verge bien tendue, offerte aux mains d'Andréï. Ce dernier s'en empare pour la tordre brutalement comme s'il voulait la casser au milieu, déclenchant des hoquets de douleur chez Sean. L'atmosphère s'est tendue de nouveau entre eux : Sean se sent sombrer irrémédiablement dans une trappe où la souffrance va jaillir et le transpercer, lui faisant perdre toute contenance. Les yeux écarquillées, la bouche ouverte de peur, il voit effectivement Andréï forcer son index dans l'orifice de sa verge tirant sur son gland qu'il dilate pour l'entrouvrir le plus possible. Il gémit fortement à l'intrusion dans sa chair de l'index d'Andréï qui progresse provoquant une griffure presque insupportable de l'ongle de ce dernier sur les parois internes du conduit de sa verge. Sean se contorsionne de douleur au fur et à mesure qu'Andréï force son doigt pour le faire remonter dans sa verge qu'il écartèle sans merci.

 

Les larmes aux yeux, Sean est tétanisé par la souffrance et supplie Andréï d'arrêter de pousser sur ce doigt qui le vrille férocement. Mais la vague de violence monte en Andréï de manière dangereuse car elle s'avère difficile à contrôler. Pire, il n'a pas envie de la faire diminuer mais au contraire voudrait aller jusqu'au bout pour voir comment ça se passe. Andréï se représente mentalement les conséquences s'il allait trop loin avec Sean: est-ce que John pourrait se venger ou bien Arnold ? Il est obsédé par la vision d'un appareil qui lui permettrait de faire un trou dans la paroi de la verge de Sean pour y ajouter une sorte de robinet qui rendrait possible de prélever soit de l'urine soit du sperme à volonté. Sean serait un cyborg sexuel: il pourrait bander mais il n'aurait plus le contrôle de ses émissions. Pendant qu'il fantasme sur cette ouverture latérale, avec son doigt toujours enfoncé dans le méat de Sean qui se trémousse et gémit sans arrêt, pris par une douleur insupportable qui irradie tout autour de sa verge dans son bas-ventre, Andréï s'empare des bourses remontées du garçon qu'il tord sans merci, comme s'il voulait le faire éjaculer sous la seule pression de ses doigts. Sean halète et commence à crier sourdement. On dirait qu'il est pris irrémédiablement entre les deux poussées: celle au fond de sa verge qui l'écartèle férocement et celle sur ses bourses tout aussi douloureuse. Andréï se dit qu'il pourrait le pousser jusqu'à le faire éjaculer dedans, comme s'il se pissait dessus. Il s'imagine faire un autre conduit juste au-dessus et en sortie des bourses. De cette manière, tout serait déconnecté dans l'acte de jouissance. Il se demande quel est l'intérêt d'une telle déconstruction. Il maintient son index enfoncé dans la verge dilatée et douloureuse de Sean tout en lui écrasant les bourses des doigts de son autre main, comme si c'était le moyen d'obtenir une réponse à sa question en accroissant la souffrance du garçon. Ce dernier se rend compte qu'il est en mauvaise posture: Andréï ne semble pas pressé de le soulager. On dirait même qu'il jouit de sentir la montée inexorable du sperme dans les canaux de Sean suite à l'effet du masturbateur et de la pression de ses doigts, qui se traduit par un surcroit de souffrance pour ce dernier qui le fait se trémousser et crier plus fort, accroissant son angoisse car il ne voit pas d'issue pour sa délivrance, si ce n'est dans l'éclatement de ses canaux internes sous l'effet de la pression qui augmente sans cesse. Sur une impulsion, Andréï attire Sean écartelé et pressuré par ses mains encore plus près pour pouvoir mieux se coller à lui, comme si la douleur imposée lui donnait envie de se rapprocher pour mieux se fondre corps à corps et la sentir en lui. Tétanisé par la souffrance, Sean a complétement baissé la garde, quémandant à corps et à cris la clémence d'Andréï, à force de se sentir comprimé et prêt à éclater sous la pression qui grandit en lui. Il supplie Andréï de le libérer et de le laisser éjaculer. A force de provoquer des sursauts de douleur chez Sean et de voir que le garçon est moralement à genoux, Andréï finit par se lasser et décide de céder. Il commence à retirer son doigt du méat de la verge du garçon qui gémit fortement car la manoeuvre est douloureuse. Dès qu'il est de nouveau libre, ses gémissements changent de nature car il est pris tout de suite après par un énorme sursaut qui le fait se figer complétement pendant que la bouche d'Andréï absorbe lentement et cette fois avec une relative douceur son gland et le haut de sa verge. La délivrance arrive sous forme de vagues qui traversent les reins de Sean pendant qu'il décharge tout ce qu'il a accumulé au fond de la bouche d'Andréï, ne pouvant s'empêcher de crier à pleine gorge à chaque fois que le jet brûlant le traverse. Bientôt, Andréï peut écarter Sean qui titube légèrement, sonné par la force et la violence de sa délivrance, avant de rejoindre sans un mot ni un regard ses collègues installés sur le sol du gymnase et prenant un peu de repos en faisant mine comme si de rien n'était. Sean, le rouge au front, se rend bien compte que tous ont suivi ses déboires seconde par seconde et qu'ils sont obligés de se tenir tranquilles à cause d'Andréï. Mais il n'y prête pas vraiment attention : il n'a pas d'ami dans ce groupe.

 

Par Leandre - Publié dans : Les préparatifs d'Andréï
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