Lundi 4 juin 1 04 /06 /Juin 00:33

 

Andréï s'absente un instant de la pièce pour ramener une sorte de cheval d'arçon sur roues, un siège allongé comme un banc étroit en cuir noir, qu'il place juste devant les fauteuils des associés qui le regardent faire intrigués pendant que les gars qui sont assis à leurs pieds ne peuvent s'empêcher de frémir même ceux qui savent qu'ils ne seront pas empalés : ils sont tous passés sur le pieu électronique. Puis Andréï va près de son fauteuil retirer de son sac l'instrument qui va servir à empaler les trois vaincus. Il brandit le cône cylindrique en acier poli d'une trentaine de centimètres qui repose sur une base carrée de caoutchouc épais d'où sortent de multiples fils électriques. L'extrémité du cône est aplatie comme émoussée à dessein. Andréï caresse la base élargie du pieu de ses doigts.

  • Voici le pieu électronique ! Quand je l'aurai installé sur le banc et qu'il sera relié à l'écran vidéo mural, vous pourrez voir en temps réel le degré de pénétration dans le fondement du gars empalé.

 

Andréï fait signe à Stéphane qui arrête de tâter Christian pour venir relier les fils électriques qui sortent de la base du pieu et trainent par terre jusqu'à la multiprise au sol et prenant les cordons pour les relier au grand écran mural de télévision. Stéphane l'allume pendant qu'Andréï manipule le pieu en passant sa main dessus jusqu'à ce qu'une grande image apparaisse sur l'écran sous la forme d'un cône correspondant au diamètre et à la longueur du pieu. Les associés regardent l'écran avec attention pendant qu'Andréï dépose cérémonieusement, bien à plat et presque au bout du banc, la base aplatie en caoutchouc dur du pieu électronique qui se dresse à présent à la verticale. Puis il sort de sa poche une télécommande sur laquelle il appuie avec comme conséquence un élargissement du cercle e la base du cône sur l'écran qui correspond à celui du pieu qui ressemble de plus en plus à un godemiché de type butt plug qui a pris du diamètre juste au-dessus de la base en caoutchouc.

  • Vous voyez : je peux télécommander le diamètre du pieu. Il peut passer de 5 à 7 cm de diamètre et même jusqu'à 12 cm ou plus si je le souhaite.

Les associés sont étonnés. Arnold se fait leur interprète :

  • Mais ce diamètre équivaut à du fist fucking !

  • En effet.

Andréï en profite avec d'autres boutons sur la télécommande pour agrandir le cône sur tout l'écran, le colorier en rouge, mettre un fond bleu étoilé. Les associés sont impressionnés et ne disent mot.

  • Vous pouvez voir la profondeur de la pénétration du pieu dans le colon par la hauteur du cône tout comme le diamètre imposé au muscle anal.

Andréï joue avec son index et son pouce dont il entoure le pieu pour faire apparaître l'anneau de lumière correspondant à la place de ses doigts sur l'acier qui vient barrer la grande image du cône colorée par ses soins sur l'écran.

  • Je suis à la moitié de la hauteur du pieu, comme vous pouvez le constater.

John est conquis :

  • En effet, c'est très précis. Bravo pour ce travail de mise au point !

Arnold continue à prévoir la suite :

  • Et comment va se positionner le gars empalé ?

  • Nous avons le choix. Il peut s'accroupir progressivement sur le pieu posé sur le banc, ou bien être couché à plat ventre sur le banc et offert fesses en l'air. Dans ce cas, il faut le lui enfoncer et l'y maintenir. Je les ai habitués à s'accroupir et s'empaler sur le pieu.

 

Les associés se regardent avant de se mettre d'accord sur l'empalement par accroupissement : l'effort sera plus visible et plus facile à doser en fonction des réactions sur le visage en pleine lumière et face à eux du gars puni. Arnold fait remarquer qu'il va falloir vérifier que le gars ne se relève pas pour éviter d'être trop empalé. C'est le moment de désigner le premier. Kris est resté debout à côté du fauteuil d'Andréï à la demande de ce dernier avant qu'il ne le lâche pour aller chercher le banc et installer le pieu dessus. C'est naturellement vers lui que se retourne Andréï qui vient le reprendre familièrement par le cou pour l'attirer en l'accompagnant vers le banc où se dresse le pieu.

  • Allez Kris. C'est le moment de nous montrer comment tu vas te faire empaler. Tu ne vas pas démériter, j'en suis sûr !

Cachant mal son appréhension, Kris s'avance docilement et souplement, inclinant le cou sous la poigne d'Andréï. Sa longue verge se balance au rythme de ses pas. Ses cuisses musclées tressautent doucement, son ventre plat et ses pectoraux gonflés mettent en valeur ses épaules puissantes. Il s'arrête déjà tout près du banc, son visage fin un brin crispé par la crainte qui l'étreint. Ses mains viennent se poser sur le banc pour y prendre appui, incliné en avant, exposant son dos musculeux et ses fesses galbées, prêt pour l'étape suivante. Il ne peut réprimer un frémissement quand Andréï demande à Stéphane de lui porter le lubrifiant et les serviettes en papier. Une fois ces ustensiles posés sur le banc à portée de mains, Andréï encourage Kris à s'enduire pour mieux se préparer à prendre le pieu, ce qu'il fait lentement et soigneusement., enfonçant ses doigts profondément dans son trou à plusieurs reprises. Il n'en éprouve aucune honte car il a l'habitude de devoir se montrer devant les associés dans des positions révélant son intimité. Puis Andréï lui fait comprendre par une pression sur l'épaule qu'il doit se mettre à califourchon sur le banc et commencer à s'empaler sur le pieu.

 

Kris obtempère en enjambant le banc, d'abord se dressant comme un cavalier sur sa monture et puis s'abaissant progressivement sur ses cuisses tout en se guidant en ayant placé ses doigts autour du pieu qu'il profite pour enduire de lubrifiant, jusqu'à pouvoir placer son trou juste au-dessus de la pointe émoussée du pieu. Avec un frisson d'appréhension, ses mains guidant fiévreusement la manœuvre, Kris abaisse davantage ses cuisses, forçant l'entrée de la pointe du pieu dans son trou. Il souffle et soupire comme pour mieux accompagner l'effort fourni pour faciliter la pénétration surveillée par les associés et les autres gars dont les yeux fixent le grand écran. On voit bien en effet le cercle lumineux qui s'est formé autour de la paroi du cône, témoignant de l'ouverture du muscle anal de Kris qui s'élargit pour laisser entrer progressivement le pieu Kris respire un grand coup et ahane un peu pendant qu'il s'assoit progressivement sur le pieu, le faisant pénétrer en lui jusqu'à la garde, ses fesses finissant par reposer sur le banc. Kris ramène ses mains agitées et dont il calme progressivement les mouvements sur le banc devant lui, prêt à l'agripper si le besoin s'en fait sentir, comme si cela pouvait lui permettre de mieux résister à la souffrance le cas échéant. Andréï le félicite en lui caressant l'épaule avant de la pincer sans façon :

  • Bravo mon garçon ! Maintenant on va passer à l'épreuve que tu as méritée.

Andréï tend la télécommande vers ses associés :

  • Qui veut infliger sa punition à Kris ?

 

Arnold et Robert ne bougent pas comme se retenant à cause de leurs jeunes compagnons élus de leurs cœurs à leurs pieds et qu'ils caressent sur la tête et le cou à qui mieux mieux. Sean est à dessein hors de portée de John, ce qui n'est pas le cas de Toby dont il manipule les parties intimes sans sembler pouvoir s'arrêter. Andréï comprend que John est trop occupé. Roger ne peut pas intervenir selon la règle édictée par Andréï, puisqu'il est le patron attitré de Kris. Il reste Stéphane qui fait des yeux tout ronds d'étonnement quand Andréï lui demande de prendre la télécommande : il ne se savait pas accepté à ce point pour être traité comme un associé alors qu'il est leur salarié. Il s'arrête de tâter sans vergogne et comme s'il avait été longtemps privé de le faire, Christian agenouillé à ses pieds, pour s'emparer de la télécommande Dès qu'il a l'appareil en main et qu'il a compris les explications d'Andréï sur la manière de s'en servir, il appuie immédiatement et sans retenue sur la commande d'élargissement du pieu. Le résultat ne se fait pas attendre : le dos de Kris se tend brusquement pendant qu'il est traversé d'un grand sursaut de douleur et qu'il gémit de plus en plus fort, une grimace barrant son visage brusquement écarlate, agité par deux mouvements contradictoires ses mains agrippées au banc comme pour conserver malgré tout sa position enfoncée sur le pieu tandis que ses cuisses se tendent comme prêtes à se soulever pour atténuer sa souffrance en remontant son muscle anal vers le sommet du pieu, réduisant d'autant le diamètre qui le dilate férocement. Les associés regardent la mesure sur l'écran : 8 cm. Ce n'est déjà pas si mal. Andréï ne voudrait pas que le garçon soit abimé avant la nuit qu'il se prépare avec lui. Il s'adresse aux associés :

  • Etes vous satisfaits ? Est-ce que Kris est assez puni ?

 

Arnold fait la grimace :

  • Regardez, il est en train de se relever. Est-ce qu'il ne devrait pas s'empaler au maximum ?

Les associés paraissent hésiter. Andréï fait remarquer :

  • Kris a eu des adversaires difficiles. Il n'a pas démérité.

Arnold persiste :

  • Mais il faudrait tester ses limites.

Andréï essaie de temporiser :

  • Mais vous savez, Arnold, vous risquez de l'abimer.

  • Un court instant alors, juste pour voir.

Andréï ne répondant pas et sur un signe d'Arnold, Stéphane appuie sur la télécommande pour élargir encore le diamètre du pieu, provoquant un grand cri de Kris qui se cabre, pris de tremblements incontrôlables, mains crispées sur le banc et cuisses bandées, ne pouvant s'empêcher de se relever un peu plus pour tenter d'échapper à la souffrance qui le transperce. Sur l'écran, le diamètre a été porté à 10 cm. Sans rien dire, Andréï reprend la télécommande des mains de Stéphane pour remettre immédiatement le diamètre du pieu à un niveau supportable pour Kris, c'est-à-dire à 8 cm. Ce dernier reste tétanisé, figé dans sa position inconfortable, son anus le brûlant, à mi chemin sur la hauteur du pieu, éclatant en sanglots silencieux pendant qu'Andréï tente de le forcer en appuyant fermement sur son épaule à se rassoir sur le pieu. Andréï sent une forte et unique vague de révolte traverser le garçon avant qu'il ne cède complétement à sa volonté, ce qui a le don de le ravir : Kris correspond à ce type de victime consentante mais uniquement après avoir commencé par résister, ce qui témoigne d'une image de soi bien construite et qui lui renvoie bien la sienne de bourreau sensible. Andréï se surprend à appuyer presque avec tendresse sur l'intérieur des cuisses du garçon pour le forcer à les relâcher, achevant ainsi sa manœuvre de le réinstaller complétement empalé sur le pieu. Pendant que Kris gémit et ahane à voix basse tout près de son oreille, Andréï montre l'écran aux associés :

  • Regardez, il est complétement empalé à 8 cm. Ce n'est pas mal non ?

 

Arnold fait un mouvement de tête signifiant qu'il est satisfait. Les autres associés en font de même. Signalant par une pression amicale sur le bras de Kris que l'épreuve est terminée, Andréï réduit avec la télécommande le diamètre du pieu à 4 cm et fait mine de soulever le garçon par l'aisselle, lui faisant comprendre qu'il peut se relever. Kris obtempère, se dégageant lentement et délicatement du pieu avec un soupir de soulagement avant de se redresser complétement et d'enjamber le banc, reprenant le chemin du fauteuil d'Andréï où il vient s'affaler juste devant, soulagé et faisant attention à ne pas provoquer d'élancement entre ses fesses en se mettant assis en tailleur sur le côté en appui sur une cuisse et une main. Plaçant le dos de son autre main sur ses lèvres, on dirait qu'il cherche à dissimuler son trouble aux regards des autres, comme s'il était honteux de son visage encore rougi par l'épreuve de la punition. Kris tente de retrouver son calme, reprenant petit à petit son souffle, se rassurant comme il peut en pensant comment Andréï l'a guidé et relativement épargné au cours de la séance éprouvante qu'il vient de vivre. Il sent bien que rien ne peut empêcher qu'il ne passe la nuit avec ce dernier. Autant s'y préparer et curieusement, il sent qu'il doit lui faire confiance, ce qui toutefois ne l'apaise pas vraiment.

 

C'est le moment pour Michalo ou Tim de se faire empaler à leur tour. Andréï regarde Michalo avec insistance comme s'il avait décidé que ce serait à lui de le rejoindre à présent près du banc. Michalo espère encore follement que les associés vont préférer Tim ou même qu'il pourrait être dispensé de la punition. Il tente de se blottir sous les mains de Robert. Mais les associés le dévisagent sans aménité particulière : le fait qu'il soit protégé par l'un des leurs ne change pas la nature de sa punition pour avoir perdu son combat contre Sean. Arnold lui fait signe d'y aller. Robert ne peut s'empêcher de caresser la tête du garçon avec insistance une dernière fois avant qu'il ne le force à se relever, comme s'il voulait le rassurer et lui donner du courage pour ce qui l'attend. La mort dans l'âme, Michalo s'approche d'Andréï qui l'attend près du banc. Le garçon est bien proportionné, finement musclé, de taille moyenne, avec un visage élégant, des yeux en amande et des lèvres ourlées, un ventre plat, sa verge circoncise pend repliée sur ses bourses entre des cuisses galbées et imberbes. Il a des hanches étroites qui mettent en valeur ses fesses légèrement proéminentes.

 

Andréï aurait envie de le croquer. Il lui fait poser les mains sur le banc pour se mettre en position, jambes écartées et fesses offertes, afin de pouvoir s'enduire commodément le trou. Andréï lui tend le pot de lubrifiant. Michalo le saisit le rouge au front : il n'a pas vraiment l'habitude d'être exposé ainsi. Il sent les regards des associés et des autres domestiques qui se concentrent sur ses mains creusant un passage entre ses fesses : il doit bien aller le plus profond qu'il peut pour s'enduire au mieux et se préparer autant que faire se peut à l'épreuve du pieu. Au bout d'un moment qui lui paraît durer une éternité, Andréï lui reprend le pot pour le reposer à l'avant du banc avant de lui faire signe qu'il doit enjamber le banc. Michalo a le cœur qui accélère alors qu'il s'installe à califourchon sur le banc et commence à abaisser ses fesses vers le pieu. Andréï guide une de ses mains jusqu'au sommet du pieu et sur lequel il le force à refermer ses doigts. Michalo n'a plus d'autre choix que d'installer son trou juste au-dessus. Quand c'est fait, Andréï s'approche plus pour appuyer fortement sur les fesses et le haut des cuisses du garçon et le forcer en s'abaissant à s'empaler.

 

Michalo soupire quand le pieu entre en lui, lame froide et déjà large à 4 cm, griffant sa peau fragile à cet endroit et le forçant à s'ouvrir sans possibilité de retour en arrière, ce qui a le don de l'effrayer en pensant à ce qui va suivre et qu'il a vu avec Kris. Michalo se tourne vers Robert avec un air perdu comme s'il l'appelait au secours. Robert lui sourit avec compassion de même que Miros qui l'encourage d'un geste en serrant le poing, comme s'il voulait lui donner l'énergie nécessaire pour dominer la situation. Michalo cherche à se reprendre, respirant un grand coup, allongeant ses mains sur le banc, essayant de s'ouvrir et d'accepter le pieu en lui qui fait inexorablement son chemin sous la poussée constante d'Andréï. Bientôt, les fesses de Michalo atteignent le banc alors qu'il grimace de souffrance, rougi par l'effort mêlé de honte, étreint par un fort sentiment d'inconfort à se sentir cloué et dilaté par son fondement et surtout offert sans défense aux excès à venir. Andréï lui caresse le cou et lui fait part de sa satisfaction en le tapotant, avec le même geste familier qu'avec Kris.

 

C'est le moment redouté de la punition proprement dite. Michalo regarde plein d'effroi et le cœur battant qui va manipuler la télécommande. Andréï a l'air d'hésiter en regardant Arnold avant de la tendre à Roger qui l'accepte avec un mauvais sourire qui glace le sang de Michalo. Ce dernier agrippe machinalement le banc de ses mains comme s'il pouvait ainsi mieux résister à la dilatation à venir du pieu qui va le déchirer. Soudain, la fulgurance de la douleur lui éclate en plein tête : son fondement le brûle tout d'un coup avec la peau tendue à craquer et qui lui fait très mal. La sensation de gène est insoutenable. Michalo crie à tue-tête sa souffrance avant d'éclater en sanglots. Andréï est tout contre lui, pressant sur ses cuisses pour éviter qu'il ne se relève alors qu'il s'agite dans tous les sens comme s'il ne pouvait pas se contrôler, gémissant et sanglotant continument. Robert s'agite l'air dégouté et révolté avant de se tourner vivement vers Arnold :

  • Je crois que c'est trop pour Michalo. Il n'est qu'un domestique après tout.

Arnold hausse les épaules :

  • En effet, je l'ai essayé et ce n'était pas fameux.

Miros s'y met aussi : il caresse le genou d'Arnold en le regardant d'un air suppliant. Arnold se ravise et vérifiant le diamètre affiché, s'adresse aux autres associés :

  • 8 cm. Est-ce suffisant comme punition ?

John hausse les épaules. Roger fait la moue :

  • J'aurais aimé aller plus loin.

Andréï sent que Michalo est en train de craquer sous l'intensité de la souffrance qui le taraude et le brise intérieurement.

  • ll vaut mieux arrêter : le gars est à bout.

 

Roger hausse à son tour les épaules avant de réduire le diamètre du pieu à 6 cm. Michalo sent tout de suite la différence : il a l'impression de reprendre pied dans la réalité. Certes elle n'est pas agréable : Andréï le tient serré comme s'il voulait éviter à tout prix qu'il ne se relève et se désengage du pieu. Son fondement lui fait vraiment mal mais ce n'est pas la douleur stridente d'auparavant. L'inconfort est là mais c'est supportable. Michalo n'arrive pas à reprendre le contrôle de ses nerfs et de sa respiration mais il soupire moins s'il ne réussit pas à arrêter de pleurnicher. Andréï le caresse partout sans se gêner et sans aucune restriction, lui saisissant la peau à pleines mains pour le tâter, le pincer, le frotter en le traitant comme un animal domestique, ce qui a le don de révulser Michalo qui préfère cacher ses sentiments par prudence vu sa situation. Andréï en profite sous prétexte de réconforter le garçon et de l'aider à se ressaisir pour le peloter à loisir mais en fait c'est comme s'il voulait en profitait avant qu'il ne lui échappe pour rejoindre Robert. Andréï finit par se tourner et récupérer la télécommande de Roger pour réduire encore le diamètre du pieu à 4 cm. L'épreuve est terminée. C'est le moment pour Andréï d'indiquer à Michalo qu'il peut se désengager du pieu et se relever pour quitter le banc. Il le fait avec le même geste qu'avec Kris, en soulevant Michalo doucement sous l'aisselle. Ce dernier ne se fait pas prier : il se dégage du pieu avant de se redresser complétement et d'enjamber le banc, revenant près de Robert qui l'étreint, provoquant une nouvelle vague de sanglots de Michalo qu'il tente en vain de réprimer avant qu'il ne s'accroupisse à ses pieds, se lovanr entre les genoux de Robert, incapable de s'assoir pour le moment du fait de ses fesses douloureuses et de son trou de balle en feu.

 

Le moment est arrivé pour Tim d'être empalé. C'est au tour de Roger d'avoir un pincement de cœur : il s'est attaché récemment à ce jeune gars fluet, d'apparence fragile et qui compense ce qui pourrait paraître comme un défaut physique par une volonté incessante de plaire et de se conformer à toutes les fantaisies de ses patrons. C'est une manière pour Roger de se changer de Kris, sculpture vivante presque trop parfaite même si le gars est aussi soumis que Tim en fin de compte. Il sera toujours temps de le récupérer après qu'Andréï s'en soit servi et déformé pour le mieux et non pas pour le pire. Par contre, Tim lui paraît plus aguerri: Arnold en a déjà abusé au point de le renvoyer pour prendre Miros. Tim a été foré dans tous les sens. Roger s'en est rendu compte : le trou du jeune est très ouvert mais en même temps il reste fragile, comme facile à casser et à briser, ce qui lui donne beaucoup de charme à ses yeux. Le garçon est déjà entre les mains d'Andréï qui l'a installé, debout, de dos et mains sur le banc, fesses exposées pour l'introduction du lubrifiant. Il est gracile mais harmonieusement proportionné : Tim a un charme certain mais qui peut déplaire à qui aime le muscle et la virilité épanouie. Il a un grain de peau satiné qui met en valeur sa nudité.

 

Sur l'ordre d'Andréï, Tim s'enduit consciencieusement en enfonçant ses doigts entre ses fesses étroites et bien dessinées, sans en être plus ému, se préparant à ce qui va suivre. Rendant le pot de lubrifiant à Andréï à sa demande, il enjambe le banc, posant de lui-même sa main sur le sommet du pieu pour pouvoir mieux se guider au fur et à mesure qu'il abaisse ses cuisses jusqu'à ce que son trou se trouve sur le pieu. Prenant une grande aspiration comme s'il voulait attirer l'attention des associés et des autres gars sur ce qu'il commence, Tim pousse son muscle anal sur le sommet du pieu tout en facilitant son ouverture autant que faire se peut. Il émet un bruit de gorge pour accompagner la pénétration du pieu dans son fondement qui se traduit sur l'image de l'écran par l'apparition du cercle de lumière venant se superposer sur le cône rouge. Andréï n'a pas besoin de presser sur les cuisses de Tim pour le forcer à descendre au maximum sur le pieu : il y arrive sans coup férir comme en témoigne l'image sur l'écran. Andréï s'empare de la télécommande et la tend à la cantonade :

  • Parfait, qui va punir Tim ?

 

Les associés se regardent. John esquisse un mouvement mais Arnold est plus rapide : il fait signe à Andréï de lui donner la télécommande. Tim a compris et glisse un regard lourd vers Arnold à la fois empreint de fatalisme et de connivence déçue. Il ne tarde pas à avoir la réponse à son reproche muet: le pieu le déchire sans pitié. Un gémissement sort instantanément du fond de sa gorge avant de se transformer en plaintes criées à pleins poumons alors que sur l'écran, le diamètre se fixe à 10 cm. Les gars sont effrayés de la violence froide d'Arnold, différente de celle d'Andréï car elle est plus soudaine et moins prévisible. Robert préfère détourner les yeux tandis que John et Stéphane contemplent impavides le torse agité de Tim qui tremble et se contorsionne dans tous les sens, les cuisses maintenues de force par la poigne d'Andréï sur le banc afin d'éviter toute manœuvre d'esquive de la pression qui lui déchire le muscle anal et l'écartèle de manière quasi insupportable. Tim éclate en sanglots avant d'oser interpeller Arnold en le tutoyant :

  • Arnold, tu me fais vraiment mal !

 

Arnold est un instant décontenancé mais décide de ne pas répondre. Tim continue de gémir et de hurler sa souffrance avant de se calmer un peu quand Arnold décide de réduire le diamètre du pieu à 8 cm. Voyant la mesure s'afficher, les gars reprennent leur souffle tandis que les associés font mine de n'avoir rien entendu. Tim continue de sangloter, affalé sur Andréï qui a relâché sa pression mais ne s'est pas écarté. Roger décide d'intervenir pour essayer d'arrêter le massacre :

  • Ce garçon a été assez puni il me semble.

Arnold semble accepter la remarque et ramène le diamètre à 4 cm. C'est le moment pour Andréï d'aider Tim à se relever et se désengager du pieu, ce qu'il fait en gémissant encore comme s'il était blessé. Une fois remis debout, il ne peut pas marcher. Andréï doit le soutenir pour le faire avancer jusqu'au fauteuil de Roger où il se laisse tomber des bras d'Andréï directement sur le sol où il s'étale de tout son long, incapable de se reprendre et de contrôler les mouvements de ses cuisses, comme s'il avait encore trop mal. Roger se demande s'il faudrait l'ausculter et en parle à Stéphane. Le voilà qui s'approche. Après un rapide conciliabule, Stéphane se penche pour relever Tim et l'entrainer avec lui vraisemblablement à l'infirmerie. C'est la fin de la soirée. Chaque associé va pouvoir entrainer l'escort ou le domestique qu'il s'est choisi dans sa chambre pour des ébats privés et une nuit réparatrice.

 

Par Leandre - Publié dans : La soirée - Communauté : Roman gay Rose
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Mon inspiration est essentiellement intergénérationnelle et j'ai besoin d'encouragements pour oser aller plus loin et au besoin infléchir les histoires dans le bon sens.

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