Le blog de Leandre

Quand Michalo poussé par Arnold entre dans la chambre de ce dernier, il a un sursaut de crainte : devant le fauteuil, sur la moquette, il y a le corps d’un très jeune gars aux cheveux blonds coupés ras, complètement nu, imberbe, couché sur le ventre, les mains placées dessous, des cordes passées sur ses cuisses, visiblement pour immobiliser ses mains par en dessous. Il a un gros morceau de papier collant noir sur la bouche. Quand il voit entrer Arnold, les yeux bleu du jeune gars expriment de la rancœur doublée d’un air de grande lassitude. Arnold s’assoit sur le fauteuil et donne une claque retentissante sur les fesses offertes, provoquant un sursaut du corps à ses pieds, pendant que Michalo reste pétrifié debout à deux pas du corps allongé.

  • Je te présente Tim. Voici Michalo.

Tim fixe ses yeux sur Michalo et lui fait un signe de tête, l’air ennuyé et souffreteux.

  • Tim a fait son temps avec moi. Il est trop ouvert maintenant à cause de moi.

Arnold rigole tout seul. Il montre à Michalo une rangée de godemichés de tailles différentes rangés par grosseur successive sur la table basse à côté du fauteuil.

  • Tu peux en choisir un et l’essayer sur lui. Tu pourras vérifier ce que je te viens de te dire, à savoir ce que son cul peut prendre.

Michalo hésite avant de se décider pour un godemiché de taille moyenne.

  • Mais non, intervient Arnold. Prends-en un plus gros !

Michalo s’étonne : le gode est très large. Il ne pourrait pas le prendre dans son propre cul, c’est sûr !

Arnold le lui tend :

  • Vas-y, mets le lui.

Michalo hésite encore tout en regardant Tim qui n’a pas bronché. Arnold prend le gode en main, le lui met dans sa propre main et le guide en le forçant à positionner le sommet du gode sur le trou de Tim qu’il met en pleine lumière à l’aide des doigts de son autre main dont il se sert pour écarter les fesses du garçon.

  • Enfonce, vas-y !

Michalo finit par presser, les reins de Tim réagissent comme s’il cherchait à éviter ce qui se prépare. Michalo ferme les yeux et presse plus fort. Tim grogne sous le papier collant qui obture sa bouche. Finalement, la situation se débloque car Michalo sent que le gode entre dans le cul de Tim et à son étonnement sans lubrifiant. Michalo a peur pour son propre cul. Tremblant, il regarde Arnold qui a repris le gode en main et fouraille dans le cul de Tim qui se tortille et gémit sous le bâillon.

  • Tu vois, il le sent à peine. Il est prêt pour le fist fucking !

Michalo est terrorisé car il vient de réaliser qu’il manque le quatrième associé, Andreï, celui que Robert a décrit comme pratiquant le fist fucking dans la propriété. Il regarde Tim qui écarquille les yeux dans le vide comme perdu dans sa douleur, grognant par intermittences de manière incohérente comme pour conjurer les vagues de souffrance pendant qu’Arnold continue à le fouailler en agitant le gode dans tous les sens, au fond de son trou et au milieu de ses entrailles. Le cœur de Michalo accélère car Arnold s’est saisi de sa main libre des fesses du garçon qu’il a attiré vers lui. Michalo se met à trembler :

  • Calme-toi, mon beau poulain. Je vais t’ouvrir, tout se passera bien.

Arnold a laissé le gode dans le cul de Tim pour se concentrer sur Michalo. Il le pousse pour se coucher sur le grand lit. Michalo lutte contre l’idée que sa dernière heure est arrivée. Arnold lui colle un bâillon sur la bouche. Quand Arnold prend Michalo, il le fait crier car il le fait en force, en déchirant ses chairs, ses tissus, les parois de son conduit intérieur. Même si Michalo a le droit de s’enduire de lubrifiant pendant les intermèdes, le garçon est écartelé, renversé les quatre fers en l’air, sans pouvoir jamais interrompre le forage de son trou par ce vieil obsédé, qui le lime pendant d’interminables minutes et qui utilise un gros godemiché pour le suppléer quand il est défaillant, ce qui arrive plus souvent que prévu. Evidemment, Arnold le menace des pires sanctions et châtiments s’il révélait ce détail à l’extérieur. A un moment du forage de Michalo, Arnold va libérer Tim pour qu’il tienne Michalo, qu’il le plaque sur les épaules, pour mieux le fixer sur le lit pour faciliter l’action d’Arnold qui l’écartèle soigneusement et continûment.

 

C’est à ce moment que Miros est passé derrière la porte de la chambre et a entendu les plaintes de Michalo étouffées par le bâillon.

 

Quad tout est fini, Arnold laisse partir Michalo qui va tituber dans le couloir jusqu’à la chambre qu’il partage avec Miros où il s’écroule sur son lit, en pleurs. Miros n’est pas là mais déjà dans la salle à manger en train de préparer la table du dîner. Michalo pense à appeler Robert mais comment faire ? Il se rhabille et part dans le couloir à la recherche de la chambre de ce dernier avec son prénom dessus. Quand il frappe et ouvre la porte, il s’écroule en larmes dans les bras de Robert. Ce dernier referme la porte pour éviter qu'ils ne soient vus dans cette situation embarrassante. Rober tente de consoler Michalo pendant de longues minutes. Il n’est pas en état de servir ce soir. Robert va l’excuser auprès de ses associés. Il le ramène dans sa chambre et le mets au lit. Michalo l’embrasse longuement en lui disant qu’il lui serait reconnaissant pour toujours de ce qu'il fait pour lui.

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Mar 7 sep 2010 Aucun commentaire